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Cette série revient sur les grandes catastrophes aériennes. Ces films, mélange de reconstitutions et de témoignages, nous plongent dans une atmosphère angoissante et un suspense haletant. Interventions des survivants et des parents de victimes, explications d’experts, étude de la boîte noire de l'avion, rapports des autorités… Un important travail d'enquête a été mené afin de tenter de comprendre les raisons de ces crashes.
Date de sortie :
Durée : 46 min/épisode
Statut : En cours de diffusion
Genres : Documentaire Drame Crime
Acclamé par la critique avec une note de 8.2/10, Mayday : Dangers dans le ciel offre une expérience documentaire exceptionnelle à travers 26 saisons captivantes, avec des performances remarquables de Stephen Bogaert. Un favori éprouvé parmi les amateurs de Documentaire, Drame, Crime.
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Sorti en 2003, Mayday : Dangers dans le ciel appartient aux genres Documentaire, Drame, Crime et a reçu une note de 8.2/10 sur The Movie Database avec 271 votes d'utilisateurs.
Cette série TV, actuellement en cours de diffusion, compte 26 saisons. Avec des épisodes d'environ 46 minutes, Mayday : Dangers dans le ciel vous offre une expérience de visionnage qui est exceptionnelle et a conquis de nombreux fans de séries.
Rafale fatale (Vol 1420 American Airlines)
Le 1er juin 1999, un MD-80 de la compagnie American Airlines tente un atterrissage en plein orage sur l’aéroport de Little Rock au Texas. Au moment de toucher le sol, les pilotes perdent le contrôle de leur avion. Onze personnes sont tuées dans l’accident.
La Porte de l'enfer (Vol 811 United Airlines)
Le 24 février 1989, un Boeing 747 de la compagnie United Airlines décolle d'Honolulu, transportant 336 passagers. Brusquement la porte de la soute avant est arrachée, provoquant une décompression explosive. C’est alors le chaos le plus total...
L'Oiseau aveugle (Vol 603 AeroPerú)
Le 2 octobre 1996, un Boeing 757 de la compagnie péruvienne AeroPerú se retrouve en situation d’urgence quelques secondes après son envol de Lima. 30 minutes plus tard, il s'écrase dans l'Océan Pacifique. Il n'y aura aucun survivant...
Du bout des ailes (Vol 236 Air Transat)
Dans la nuit du 23 au 24 août 2001, un Airbus A330 de la compagnie canadienne Air Transat se retrouve en panne de carburant au-dessus de l'Atlantique et doit faire un atterrissage en vol plané. La catastrophe est évitée de justesse…
Plongeon mortel (Vol 261 Alaska Airlines)
Le 31 janvier 2000, un MD-83 d'Alaska Airlines décolle de Puerto Vallarta pour San Francisco. Soudain, une défaillance mécanique entraîne l'avion en piqué. Malgré les efforts des pilotes, l'appareil s'écrase dans la mer, tuant ses 88 occupants.
Feu à bord (Vol 111 Swissair)
Le 2 septembre 1998, le vol Swissair 111 décolle de New York pour Genève. Une heure plus tard, une fumée suspecte apparaît dans le cockpit, se transformant en incendie. Quelques minutes après, l'avion plonge dans l'océan, faisant 229 victimes.
Une erreur de taille (Vol 5390 British Airways)
10 juin 1990. Les passagers embarquent à Birmingham sur le vol 590. Beaucoup se rendent à Malaga, en Espagne, pour des vacances méditerranéennes. Alors que l'avion décolle et monte à 17.500 pieds, une forte détonation retentit à l'avant de l'appareil.
L'Oiseau blessé (Vol 529 Atlantic Southeast Airlines)
En août 1995, le Vol ASA 529 décolle d'Atlanta en direction de Gulfport. Peu de temps après le décollage, une détonation retentit : l'une des quatre pales de l'hélice n'est plus qu'un moignon. De l'huile jaillit du moteur qui s'est arraché de ses amarres.
Terreur au sol (Vol 8969 Air France)
1994, le lendemain de Noël, un Airbus A300 transportant 177 personnes atterrit à Marseille. À son bord, des terroristes algériens du GIA bien décidés à se faire entendre.
Collision en vol (Vol 2937 Bashkirian Airlines & Vol 611 DHL)
Une nuit d'été de l'année 2002, dans un ciel vide, deux énormes jets se percutent. L'un des avions transporte un groupe d'enfants russes, l'autre est un avion courrier DHL. Leurs routes se croisent au-dessus de la frontière germano-suisse.
Direct pour Cali (Vol 965 American Airlines)
Décembre 1995, le Vol 965 d’American Airlines vole de Miami vers Cali, en Colombie. Le 965 est en retard, il a été retenu au sol pendant deux heures. Les deux pilotes d'American Airlines poussent leur appareil au maximum pour compenser le temps perdu.
Porté disparu à New York (Vol 52 Avianca)
Nous sommes à l'aéroport JFK de New York, le 25 janvier 1990. Il est 20 heures, il fait nuit, et la météo est mauvaise. A quelques centaines de kilomètres de là, le 707 de la compagnie colombienne Avianca au bord de la panne sèche entame sa descente.
Courant d'air (Vol 243 Aloha Airlines)
En aéronautique, les accidents les plus spectaculaires ne sont pas nécessairement les plus meurtriers. Le 28 avril 1988, un Boeing 737 de la compagnie Aloha s'est retrouvé à 7300 m d'altitude dans une situation critique totale, inattendue et unique.
Le Tir aux pigeons (Vol OO-DLL DHL European Air Transport)
Bagdad, 22 novembre 2003. Officiellement la guerre en Irak est terminée. Les troupes américaines sont censées contrôler la situation. Lorsque l'équipage du vol DHL Oscar Lima Lima décolle, il ne s'attend pas à être touché par un missile sol air…
Hors de contrôle (Vol 123 Japan Airlines)
Pour désengorger les aéroports, bondés en périodes de vacances, les compagnies japonaises utilisent régulièrement de très gros appareils pour des vols de courte distance. Le 12 août 1985, le vol JAL 123 transporte 524 passagers et membres d'équipage de Tokyo à Osaka. Au bout de douze minutes de vol, une violente explosion endommage la queue de l'appareil, qui s'écrase sur les flancs du mont Osutaka...
Attaque en plein ciel (Vol 705 FedEx)
7 avril 1994, Aéroport de Memphis. L'équipage d'un DC 10 Cargo de Fedex s'envole pour San José en Californie. Les trois hommes ignorent qu'ils vont devoir affronter une menace mortelle qu'aucun manuel ne prévoit…
Bombe à bord (Vol 434 Philippine Airlines)
Une bombe explose à bord de l'appareil, qui se pose en urgence à Okinawa.
Erreur sur la cible (Vol 655 Iran Air)
Le 3 juillet 1988, en pleine guerre Iran-Irak, le croiseur américain USS Vincennes, posté dans le Golfe persique, détecte la présence d'un avion inconnu. La cible est facilement détruite, mais l'euphorie de l'équipage du navire est de courte durée. Ils viennent en effet d'abattre un Airbus A300 de la compagnie Iran Air, qui transportait 290 personnes...
Hélicoptère en chute libre (Vol 56C Bristow)
En janvier 1995, en pleine mer du Nord, un hélicoptère transportant 18 ouvriers jusqu'à une plate-forme pétrolière est frappé par un éclair. Les pilotes tentent de garder le contrôle de l'appareil mais, malgré leurs efforts, les voici sont contraints de le faire amerrir. L'enquête menée après l'accident révèle qu'un défaut de conception du fuselage pourrait avoir attiré la foudre.
Les Secrets de la boîte noire (Vol 990 EgyptAir)
Retour sur l'accident du vol 990 d'Egypt Air, reliant New York au Caire, survenu le 31 octobre 1999. Le Boeing 767 de la compagnie égyptienne survolait l'Atlantique lorsqu'il a subitement plongé vers l'océan, à 100 kilomètres des côtes américaines, tuant les 217 personnes qui se trouvaient à bord. L'enquête qui suivit cette catastrophe devint l'une des plus controversées de l'aviation moderne.
Un enfant dans le cockpit (Vol 593 Aeroflot)
Yeroslave Kudrinsky, un pilote de ligne russe, transporte parmi ses passagers ses enfants qu'il emmène en vacances. Durant le vol, ils viennent lui rendre visite dans le cockpit et, pendant quelques instants, Yeroslave installe son fils aux commande de l'appareil, sous contrôle du pilote automatique. Mais, subitement, l'avion se met à chuter de manière anormale et les commandes ne répondent plus. L'appareil, totalement incontrôlable, s'écrase violemment. L'épave est retrouvée : les soixante-quinze passagers et membres d'équipage ont tous péri. Face à l'incompréhension générale, toutes les hypothèses sont envisagées. Une enquête révèle que l'enfant était aux commandes lors du fatal incident technique.
Deux trains, une voie : l'issue fatale (Train 4 Via Rail & Train 413 Canadien National)
Le 8 février 1986, un train de voyageurs de Via Rail et un train de marchandises de 118 wagons des chemins de fer nationaux du Canada entrent en collision, tuant 23 personnes. L'équipe du train de marchandises ne s'est pas arrêtée à un feu rouge de signal ferroviaire sur un tronçon d'une boucle de dépassement, peut-être parce le conducteur dormait.
Les Naufragés du Samina (ferry express desservant les Cyclades au départ du Pirée)
Le ferry Express Samina entre en collision avec des rochers et sombre en mer Méditerranée, à la nuit tombante.
Le Train fou (Train 7551 Southern Pacific)
Les freins d'un train de marchandises lâchent dans une descente. Il déraille dans une courbe près de San Bernardino.
Prise d'otages au-dessus de l'océan (Vol 961 Ethiopian Airlines)
Le 23 novembre 1996, un Boeing 767 de la compagnie Ethiopian Airlines, avec à son bord cent-soixante-quinze passagers, est détourné par trois pirates de l'air. Ces individus ordonnent au pilote de mettre le cap sur l'Australie, malgré les mises en garde du commandant qui leur affirme que le carburant ne sera pas suffisant pour un tel vol. Mais alors que l'appareil survole Moroni, la capitale des Comores, il se trouve à court de kérosène et s'abîme en mer, à cinq-cents mètres de la côte. Cent-vingt-trois passagers trouvent la mort dans l'accident.
Évacuation miraculeuse (Vol 358 Air France)
L'appareil sort au bout de la piste à l'atterrissage, pendant un orage à Toronto. L'appareil prend feu, les passagers et l'équipage sont évacués, sains et saufs.
Pluie de cendres (Vol 009 British Airways)
Les 4 moteurs de l'appareil s'arrêtent les uns à la suite des autres après avoir craché des flammes du fait de l'entrée de l'avion ( à l'insu complet des pilotes) dans un nuage de cendres volcaniques provenant d'un volcan distant de plusieurs centaines de kilomètres. Les éléments volcaniques provoquent ainsi une sorte de "dôme" bleuté qui recouvre toute la carlingue, ce que les pilotes n'avaient jamais vu de leur vie (ni même entendu parlé). Après une chute d'altitude due à la raréfaction de l'air en cabine (remplacée par du souffre provenant du volcan), les moteurs décrassés se trouvant sous le nuage volcanique repartent peu avant l'atterrissage d'urgence à Jakarta.
Tous feux tous flammes (Vol 797 Air Canada)
Un incendie se déclare dans les toilettes. L'appareil se pose en urgence à Cincinnati.
Approche finale (Vol 801 Korean Air)
L'appareil sort de la piste à l'atterrissage à Guam par temps de pluie.
Danger caché (Vol 585 United Airlines & Vol 427 USAir & Vol 517 Eastwind Airlines)
L'appareil de United Airlines devient incontrôlable à l'approche de Colorado Springs. L'appareil de USAir s'écrase de la même manière en Pennsylvanie.
Panique au-dessus du Pacifique (Vol 006 China Airlines)
L'appareil perd de la puissance sur un de ses quatre moteurs. Il se pose en urgence à San Francisco.
Perdu en plein vol (Vol 498 Aeroméxico & Vol privé)
L'appareil de Aeroméxico effectue une descente vers Los Angeles. Il entre en collision avec un avion privé qui décolle d'un aérodrome local. Les deux appareils s'écrasent.
Vol officiel (Vol 21 United States Air Force)
Un appareil de l'US Air Force s'écrase peu avant l'atterrissage à Dubrovnik
Crash de Charm-El-Cheikh (Vol 604 Flash Airlines)
L'appareil s'écrase dans la Mer Rouge peu après le décollage.
L'Avion fantôme (Vol 522 Helios Airways)
L'avion en provenance de Chypre a pour plan de vol un atterrissage à Athènes. Le contrôle aérien perd pourtant le contact radio avec l'appareil dès le début du trajet. De surcroît, le plan de vol n'est pas du tout respecté : l'avion continue en ligne droite son trajet au-dessus de la Grèce, bien loin de la capitale dépassée depuis longtemps. 2 turbos-jets militaires sont envoyés à sa rencontre, puisqu'il y a suspicion de détournement. Les pilotes militaires signalent que l'appareil est sans défaut de dépressurisation, sans incendie à bord, mais le copilote est inconscient, le pilote introuvable et que les masques à oxygène pendent dans la cabine. Un steward entre dans le cockpit pour tenter de prendre les commandes, fait des signes aux militaires. L'appareil s'écrase près de Marathon ayant épuisé tout son carburant.
Preuves explosives (Vol 182 Air India)
Le vol Air India 182 explose en plein vol au-dessus des côtes irlandaises, tuant les 329 personnes à bord. L'enquête révélera qu'une bombe du groupe sikh Babbar Khalsa est la cause du crash.
Enquête sur le DC-10 (Vol 96 American Airlines & Vol 981 Turkish Airlines)
Un McDonnell Douglas DC-10 vieux seulement de quelques mois, au départ de Détroit, Michigan et à destination de Buffalo et New York doit faire face à une décompression suite à l'ouverture d'une porte de soute. L'équipage parvient à se poser en urgence à Windsor, Ontario, sans qu'il y ait de victime à déplorer. Cependant, le défaut dans le mécanisme de la porte n'est pas rectifié et deux ans plus tard, le vol TK 981 parti de Paris à destination de Londres connaît le même problème. Cette fois, le système hydraulique du DC-10 est endommagé, l'avion s'écrase près de Senlis, dans la forêt d'Ermenonville, en tuant 346 personnes.
Tempête australe (Vol 242 Southern Airways)
Le vol Southern Airways part de Huntsville, Alabama pour Atlanta, Géorgie. Il traverse une sévère perturbation et est frappé par de gros grêlons. Ses deux réacteurs sont endommagés, l'appareil fait un atterrissage d'urgence sur une autoroute à New Hope, Géorgie. Il percute une station-service et explose, tuant 62 personnes à bord et 8 au sol.
Le poids du sort (Vol 5481 Air Midwest)
Un petit avion de lignes intérieures à destination de Greenville s'écrase sur un hangar de l'aéroport international de Charlotte quelques secondes après son décollage.
Plaqué au sol (Vol 191 Delta Air Lines)
Un Lockheed L-1011 Tristar de Delta Airlines s'écrase pendant son approche de l'aéroport de Fort Worth, Dallas, Texas, tuant les 11 membres d'équipage, 128 des 152 passagers, et une personne au sol.
Glissade miraculeuse (Vol 143 Air Canada)
Un Boeing 767 accomplissant le vol 143 pour Air Canada se retrouve en panne de kérosène à 12 000 mètres d'altitude, à la moitié de son parcours entre Montréal et Edmonton. L'équipage parvient à le faire planer jusqu'à l'aéroport du parc industriel de Gimli, une ancienne base aérienne à Gimli, Manitoba.
Feu à bord (Vol 295 South African Airways)
De la fumée se répand dans le vol South African Airways 295. Un feu s'est déclaré à l'arrière. Bien que les pilotes parviennent à ouvrir les portes pour évacuer la fumée, l'appareil s'écrase. Aucun survivant.
Atterrissage catastrophe (Vol 401 Eastern Air Lines)
Un Lockheed L-1011 Tristar à destination de Miami s'ecrase dans les Everglades. L'équipage, distrait par une lumière défectueuse de l'indicateur de train d'atterrissage, désactive accidentellement le pilotage automatique. 101 personnes sont tuées.
Tragédie dans les Caraïbes (Vol 301 Birgenair)
Le Birgenair 301 part de Puerto Plata à destination de Francfort, Allemagne. Au décollage, le commandant estime que son ASI (indicateur de vitesse) donne de mauvaises indications. Cependant, l'ASI du co-pilote fonctionne correctement. Les deux pilotes se perdent en conjonctures et en viennent à penser que les deux ASI fonctionnent mal. Ils perdent le contrôle de l'appareil qui s'écrase dans la mer des Caraibes. Les 13 membres d'équipage et les 176 passagers sont tués.
Collision fatale (Vol 1907 Gol & Vol N600XL Embraer Legacy)
Un Boeing 737 opérant pour Gol Transportes Aereos, et un jet Embraer Legacy prêt à être livré entrent en collision au-dessus de l'Amazonie. Le 737 s'écrase, le Legacy parvient à se poser. 154 personnes sont tuées.
Séquences spectaculaires
Un avion de ligne est conçu pour contenir une atmosphère extrêmement pressurisée, afin que les passagers puissent survivre en haute altitude. Mais lorsque la pression s'échappe, la catastrophe est imminente. À travers des images d'archives, des reconstitutions et des témoignages, retour sur les catastrophes aériennes les plus spectaculaires de ces cinquante dernières années
Défauts fatals
Grâce à l'ingénierie moderne, les avions à réaction sont aujourd'hui construits à partir de milliers de composants différents. Mais cette technologie de pointe demande une maintenance constante, car un infime défaut peut engendrer une véritable catastrophe. À travers des images d'archives, des reconstitutions et des témoignages, retour sur l'un des accidents aériens les plus spectaculaires, causé par une anomalie quasiment invisible.
Qui pilote l'avion ?
Lorsque le pilote monte dans l'avion, il doit faire confiance au système informatique qui contrôle virtuellement chaque aspect du vol. Cette relation entre l'homme et la machine se complique quand les choses ne fonctionnent pas correctement. À travers des images d'archives, des reconstitutions et des témoignages, ce documentaire revient sur les problèmes informatiques qui ont été à l'origine de crashes aériens spectaculaires.
L'attentat de Lockerbie (Vol 103 Pan Am)
Le 21 décembre 1988, un Boeing 747 de la compagnie américaine Pan Am quitte Londres, en Angleterre, pour rejoindre New York avec 259 personnes et onze membres d'équipage à son bord. Un vol de routine qui emprunte l'une des six routes aériennes au départ de la capitale britannique. Une trentaine de minutes après son décollage, l'appareil explose en vol et s'écrase sur la petite ville de Lockerbie, en Ecosse. Lorsque le jour se lève, quelques heures plus tard, Lockerbie offre un paysage de désolation.
Collision en plein vol (Vol 763 Saudi Arabian Airlines & Vol 1907 Kazakhstan Airlines)
Le 12 novembre 1996, le vol 763 de Saudi Airways décolle de New Delhi et grimpe à l'altitude de 4200 mètres. Alors que l'équipage attend l'autorisation de gagner son altitude de croisière, le Boeing est heurté par un appareil de la compagnie Kazakhstan Airlines. Les deux avions, gravement endommagés, s'écrasent au sol, faisant près de 350 victimes. Y a-t-il eu défaillance du contrôle aérien ? Comment cette collision a-t-elle pu se produire ?
Vol en éclats (Vol 611 China Airlines)
Le 25 mai 2002, des centaines de pièces calcinées d'un avion qui volait en direction de Hongkong sont repêchées en pleine mer. La disparition du vol China Airlines 611 demeure un épais mystère, jusqu'à la découverte, par des enquêteurs, du 740e morceau de l'épave. Ils découvrent alors comment un 747 ultramoderne, avec à son bord 225 passagers, a été littéralement coupé en deux, 22 minutes après avoir décollé de l'aéroport de Taïwan.
Débris fantômes (Vol 394 Partnair)
Le 8 septembre 1989, un Convair 580 de la compagnie aérienne norvégienne Partnair quitte Oslo pour rejoindre Hambourg, en Allemagne. Alors que l'avion survole le détroit de Skagerrak et s'approche des côtes danoises, la queue de l'appareil commence brusquement à trembler, avant de se détacher du fuselage. Dépourvu de son empennage, le Convair devient incontrôlable et s'écrase en pleine mer, à quelques kilomètres de la petite ville de Hirtshals, au Danemark. Aucun des 55 passagers ne survit à l'accident, et la compagnie Partnair est contrainte de déposer le bilan quelques mois plus tard.
Opération Babylift (Vol d'évacuation sur Lockheed C-5A Galaxy 68-0218)
Avril 1975, la guerre du Viêtnam est sur le point de s'achever. Les Américains organisent une mission de sauvetage, destinée à évacuer des orphelins vietnamiens. Mais l'opération tourne au désastre lorsque l'avion chargé de la mission, un C-5 Galaxy, est victime d'une avarie. La porte arrière est arrachée, aspirant plusieurs passagers dans le vide. Le pilote décide de se poser en urgence mais rate sa manoeuvre. L'avion s'écrase dans une rizière, provoquant la mort de plus de 150 personnes.
Amerrissage en catastrophe (Vol 1153 Tuninter)
Le 6 août 2005, un avion de transport régional ATR 72-202 de la compagnie tunisienne Tuninter décolle de Bari, en Italie, pour rejoindre Djerba avec 39 personnes à son bord. Alors que l'appareil approche de la Sicile, ses deux moteurs se coupent subitement. Immédiatement, le pilote demande l'autorisation d'atterrir en urgence, mais il n'aura pas le temps d'atteindre l'aéroport. L'appareil s'écrase en mer, à quelques kilomètres de Palerme, entraînant la mort de seize personnes.
Disparition d'un jet (Vol 574 Adam Air)
Le 1er janvier 2007, un appareil de la compagnie Adam Air décolle de Suribaya, en Indonésie. Alors qu'il survole la mer de Java, l'avion rencontre des turbulences : un violent orage se trouve sur sa route. Un défaut du système de navigation complique les manoeuvres de l'équipage. Bientôt, l'appareil disparaît dans les nuages avant de s'abîmer en mer. Plus de cent personnes périssent dans l'accident.
Gel en plein vol (Vol 4184 American Eagle)
Le 31 octobre 1994, au cours d'une nuit glaciale, des dizaines de vols au départ de Chicago sont retardés, y compris l'American Eagle 41-84. Soudain, l'avion chute en vrille pour s'écraser dans un champ de maïs. Les 68 personnes à bord sont tuées sur le coup. Retour sur les causes de cette catastrophe : un phénomène météorologique rare et un défaut de conception fatal.
Panne générale
En se penchant sur cinq grandes catastrophes aériennes, il est possible de tirer des leçons sur les innovations à apporter ou les précautions à prendre afin d'éviter que de tels drames se reproduisent. L'administration de l'aviation civile aux Etats-Unis propose d'effectuer un vol-test afin de découvrir «NextGen», le nouveau système de contrôle aérien numérique, présenté comme révolutionnaire.
Le ciel se déchaîne
En décembre 2008, une série de tempêtes particulièrement féroces ravage les Etats-Unis. De telles conditions climatiques obligent le monde de l'aviation à redoubler de vigilance, afin d'éviter que ne se produisent des catastrophes aériennes. Un lieu permet d'assurer la sécurité des vols : le Centre de prévisions météorologiques des Etats-Unis, chargé de transmettre ses informations à l'aviation. Visite et découverte des lieux.
Avion en feu (Vol 28M British Airtours)
L'appareil charter prend feu pendant la phase de décollage d'un vol entre la Grande-Bretagne et l'île grecque de Corfou. Malgré l'abandon réussi de la procédure de décollage, 55 des 137 passagers et membres d'équipage périssent dans l'incendie de l'avion sur le tarmac.
Essai tragique (Vol 296 Air France)
Un Airbus A320 d'Air France ne parvient pas à reprendre de l'altitude et se crashe dans la forêt après un vol inaugural lors d'un meeting aérien à l'aéroport de Mulhouse-Habsheim. Trois personnes décèdent. 130 passagers étaient à bord, ainsi que deux membres d'équipage, et deux membres de la compagnie invités dans le cockpit.
Chaos dans le cockpit (Vol 255 Northwest Airlines)
Une suite de petites distractions survenues sur la piste provoque la réalisation incomplète de la check-list avant le décollage. L'avion essaye de décoller, mais sans ses volets et bord d'attaque en bonne position, ne parvient pas à prendre de l'altitude et se crashe. 154 des 155 passagers et membres d'équipage sont tués, ainsi que deux personnes au sol. A ce moment, ce fut la deuxième catastrophe aérienne la plus meurtrière des Etats-Unis, après celle du crash de l'American Airlines Flight 191 survenue huit ans plus tôt.
Sauvés de justesse (Vol 1493 USAir & Vol 5569 Skywest Airlines)
Une nuit de 1991 sur l'aéroport de Los Angeles International, un contrôleur aérien oriente par erreur un Boeing 737 de US Air sur la même piste qu'un petit avion de Sky West Airlines en attente de décollage. En atterrissant, le 737 percute le petit appareil, sort de la piste et va percuter un bâtiment. Les 12 passagers et membres d'équipage du vol Sky West périssent, ainsi que 22 occupants du vol US Air.
Tensions au-dessus de la Russie (Vol 007 Korean Air Lines)
Pendant la guerre froide, un vol de la Korean Air Lines faisant route de Séoul à New York via Anchorage pénètre une zone interdite de l'espace aérien soviétique et est abattu, ce qui provoque une indignation internationale. Une enquête montrera que l'équipage a oublié de désenclencher le système INS (Inertial navigation system) ce qui a dévié le vol et a conduit à ce qu'il s'introduise dans l'espace aérien soviétique.
Neige sanglante (Vol 1363 Air Ontario & Vol 405 USAir)
Alors que des conditions hivernales frappent la ville de Dryden, Ontario, un avion s'écrase dans la forêt un kilomètre après la fin de piste quelques secondes après son décollage. Trois ans plus tard, l'histoire se répète sur le même modèle d'avion lors d'un vol US Air qui finit son vol dans la baie de Flushing après son décollage de l'aéroport de La Guardia. Des procédures de sécurité inappropriées, un défaut dans le design des ailes du Fokker F28, et un dégivrage inefficace ont conduit à une accumulation de givre sur les ailes des deux appareils, causant leurs crashs.
Catastrophe au mont Sainte-Odile (Vol 148 Air Inter)
Un transport français de passagers s'écrase dans les Vosges alors qu'il était en circuit d'attente pour l'aéroport de Strasbourg. Le crash provoque la mort de 87 des 96 passagers et membres d'équipage. Les divers facteurs sont un entraînement insuffisant de l'équipage, une erreur de pilotage sur l'angle de trajectoire et la vitesse verticale, une erreur du contrôleur aérien, une absence d'alerte de proximité du sol, et une réaction étrange du pilotage automatique à des entrées manuelles de données faites pendant la phase de turbulences.
Vacances mortelles (Vol 101 Chalk's Ocean Airways)
Une minute après son décollage, l'aile droite d'un hydravion est arrachée, et l'appareil s'écrase dans les eaux proches de Miami Beach, tuant les 20 passagers et membres d'équipage. Les enquêteurs découvrent que le crash est dû à une fatigue de la structure elle-même résultant d'une maintenance insuffisante de la Chalks, financièrement exsangue, et à un manque de vigilance de la FAA.
Trois pilotes dans le cockpit (Vol 1951 Turkish Airlines)
Le 15 janvier 2009, moins de deux minutes après avoir décollé de l'aéroport de La Guardia, le vol 1549 d'US Airways percute une nuée d'oiseaux. Les moteurs tombent en panne et l'Airbus A-320 chute du ciel. L'équipage tente désespérément de redémarrer les moteurs, en vain. Avec la ville de New York d'un côté, et le New Jersey de l'autre, le capitaine Chesley Sullenberg est à court d'option. Alors qu'il cherche un endroit où atterrir, Sullenberg, pilote aguerri, prévient les passagers et l'équipage de se préparer à l'impact. Il annonce à la tour de contrôle qu'il va tenter un amerrissage d'urgence sur le fleuve Hudson.
L'énigme d'Heathrow (Vol 38 British Airways)
Le 17 janvier 2008, alors qu'il est sur le point d'achever ses dix heures de vol en provenance de Pékin, le vol British Airways 38 se prépare à descendre sur la piste de l'aéroport d'Heathrow, à Londres. Deux minutes avant que l'avion ne touche le sol, au moment même où le premier officier prend le contrôle de l'appareil, deux des moteurs tombent en panne. En chute libre, et n'ayant que quelques secondes pour agir, le capitaine relève les volets de l'avion afin de réduire sa portée. L'appareil, qui manque de toucher des bâtiments et une antenne radio, finit sa course en bout de piste. Tous les passagers sont indemnes. Les enquêteurs découvriront-ils comment un des avions les plus sophistiqués au monde a pu s'écraser dans de telles conditions?
Le drame de l'incompétence (Vol 3597 Crossair)
Le 24 novembre 2001, le vol Crossair 3597, en provenance de Berlin, est en approche de Zurich. C'est l'un des derniers vols programmés avant que l'aéroport de Kloten ne ferme ses portes pour la nuit. Alors que l'avion entame sa descente, les pilotes ne parviennent pas à trouver la piste. Ils décident alors d'annuler la manoeuvre et de mettre les pleines puissances pour permettre à l'appareil de remonter. Mais il est déjà trop tard. L'avion touche la cime des arbres et s'écrase à flanc de coteau : 21 passagers et trois membres d'équipage, dont le pilote et le copilote, périssent dans l'accident, dont seules neuf personnes réchappent. Les enquêteurs vont passer au peigne fin les décombres ainsi que les données enregistrées par les boîtes noires.
Amerrissage sur l'Hudson (Vol 1549 US Airways)
Le 15 janvier 2009, moins de deux minutes après avoir décollé de l'aéroport de La Guardia, le vol 1549 d'US Airways percute une nuée d'oiseaux. Les moteurs tombent en panne et l'Airbus A-320 chute du ciel. L'équipage tente désespérément de redémarrer les moteurs, en vain. Avec la ville de New York d'un côté, et le New Jersey de l'autre, le capitaine Chesley Sullenberg est à court d'option. Alors qu'il cherche un endroit où atterrir, Sullenberg, pilote aguerri, prévient les passagers et l'équipage de se préparer à l'impact. Il annonce à la tour de contrôle qu'il va tenter un amerrissage d'urgence sur le fleuve Hudson.
Morts de fatigue (Vol 3407 Colgan Air (Continental Airlines)
Le 12 février 2009, après un vol de 53 minutes, le vol continental 3407, assurant la liaison entre Newark et Buffalo, distant de 450 kilomètres, arrive enfin à l'aéroport de Buffalo-Niagara avec deux heures de retard. A travers la neige et les vents violents, les pilotes aperçoivent les lumières de la ville. Le commandant de bord et sa copilote connaissent bien leur appareil, et pour eux cette manoeuvre fait partie de la routine. Pourtant, lorsqu'ils veulent sortir les battants pour ralentir l'avion, l'appareil décroche et tombe brusquement à pic pour aller s'écraser sur une maison de banlieue. La carcasse de l'avion est entièrement brûlée, ce qui ne facilite pas la tâche des enquêteurs.
Pilote en détresse (Vol 751 Scandinavian Airlines)
Le 27 décembre 1991, le vol 751 de la Scandinavia Airlines est prêt à décoller du tarmac de l'aéroport de Stockholm-Arlanda malgré la neige qui le recouvre. Avant lui, un DC-9 a été dégivré à deux reprises avant de pouvoir enfin partir. Finalement, l'avion s'envole. Mais au bout de seulement 25 secondes de vol, un bruit et des vibrations se font sentir, et les moteurs tombent en panne. Alors qu'il est à plus de 3000 pieds de hauteur, l'appareil chute, heurte violemment le sol et se scinde en trois parties. Tous les passagers sont en vie, un vrai miracle. Les enquêteurs doivent alors déterminer l'origine du problème.
Dérapage mortel (Vol 3054 TAM)
Le mardi 17 juillet 2007, le vol TAM 3054 s'apprête à atterrir sur la piste 35-L de l'aéroport de Congonhas, à Sao Paulo. Située en plein centre-ville, au sommet d'une colline et cerclée de hauts immeubles, cette piste est une des plus dangereuses au monde. Lorsque le commandant de bord est informé des conditions météorologiques rendant la piste glissante, il tente une manoeuvre désespérée. Malheureusement, l'avion ne ralentit pas et traverse les 1945 mètres de piste à toute vitesse, puis une autoroute, avant de percuter un entrepôt et une station-service. L'impact ne laisse aucun survivant. Les enquêteurs, qui doivent déterminer les causes de l'accident avant qu'une nouvelle catastrophe ne survienne, sont sous pression.
Hautes turbulences (Vol 708 West Caribbean)
Le 16 août 2005, après plusieurs heures de retard, le vol 708 West Caribbean décolle de l'aéroport de Panama à destination de la Martinique. En raison du mauvais temps, l'avion est pris dans de fortes turbulences. De plus, l'équipage remarque que les moteurs ne produisent pas assez de puissance, rendant la poussée insuffisante. Alors que le commandant décide de réduire l'altitude pour régler le problème, l'alarme de décrochage se met à sonner. Le McDonnell Douglas, qui ne vole pas assez vite pour rester stable, chute et s'écrase sur une ferme au Venezuela. La plus grande catastrophe aérienne de l'histoire du pays coûte la vie à 160 personnes.
Accident controversé (Vol 1285 Arrow Air)
Le 12 décembre 1985, après une mission de six mois au Moyen-Orient, une troupe de 248 soldats américains rentre au pays pour les fêtes de Noël. Le vol charter 1258, en provenance du Caire, fait escale à l'aéroport de Gander, au Canada, pour remplir son réservoir. Lorsque l'avion décolle quelques instants plus tard, il perd rapidement de la vitesse et de l'altitude, avant de s'écraser dans une forêt dense, située au sud de la piste. Cette catastrophe aérienne sans précédent, parmi les plus meurtrières, suscite encore des controverses, malgré l'enquête menée.
Désastre au Texas (Vol 2574 Continental Express)
Le 11 septembre 1991, alors que le vol 2574 de la Continental Express reliant Laredo à Houston, au Texas, s'apprête à atterrir, l'avion chute subitement et s'écrase dans les champs. Les quatorze personnes à bord meurent sur le coup. Le choc est si violent que dans les décombres, les restes de l'avion sont à peine identifiables. Si les enquêteurs considèrent en premier lieu la possibilité qu'il y ait eu une bombe à bord, cette hypothèse est vite écartée.
Le Crash de Munich (Vol 609 British European Airways)
Le 6 février 1958, l'équipe de football de Manchester United rentre au Royaume-Uni après avoir joué la Coupe d'Europe en Serbie. L'avion fait escale à Munich pour recharger son réservoir et s'apprête à redécoller lorsque le moteur ralentit soudainement et que l'appareil s'écrase contre une maison aux abords de la piste. L'accident fait 23 morts, dont sept joueurs de l'équipe de Manchester. Très médiatisée, cette catastrophe aérienne est relayée dans la presse internationale, qui exige des réponses. Accusé, le pilote survivant va combattre durant une décennie pour sauver son honneur.
Atterrissage musclé (Vol 85 Northwest Airlines)
Parti de Detroit, le vol 85 de la Northwest Airlines vole en direction de Narita, au Japon, avec 400 passagers à bord. Soudain, il bascule violemment à gauche et commence à perdre de l'altitude. Les pilotes parviennent à stabiliser le Boeing 747, mais ils ont du mal à le contrôler et décident de faire demi-tour dans l'espoir d'atteindre l'aéroport d'Anchorage, situé à 1300 kilomètres de là. Deux heures plus tard, un atterrissage turbulent mais sans problèmes achève le calvaire des pilotes et des passagers, et une enquête s'ouvre pour définir les causes du dysfonctionnement de l'appareil.
Le Cargo de la mort (Vol 8509 Korean Air Cargo)
Le 22 décembre 1999, le Boeing 747 de la Korean Air s'écrase dans un champ au nord-est de Londres. Les quatre membres d'équipage meurent sur le coup. Cet accident tragique était le cinquième en deux ans pour cette compagnie.
Dans le collimateur (Vol 182 Pacific Southwest Airlines & Vol privé)
Le 25 septembre 1978, le vol Pacific Southwest Airlines 182 entame sa descente vers l'aéroport de San Diego. Sa trajectoire croise accidentellement celle d'un Cessna. Après la collision, les deux avions s'écrasent sur un quartier résidentiel de la ville. Tous les passagers sont tués, ainsi que sept habitants.
Descente aux enfers (Vol 2120 Nigeria Airways)
Le 11 juillet 1991, alors que le vol 2120 de la Nigerian Airways prend son envol, l'appareil montre un défaut de pressurisation. Tandis que le pilote tente de faire demi-tour, l'avion se transforme en véritable boule de feu, causant la mort des 247 passagers et des 14 membres d'équipage. Les enquêteurs tentent de percer les mystères de ce terrible accident.
Tueur à bord (Vol 1771 Pacific Southwest Airlines)
Le 7 décembre 1987, alors que le vol 1771 de la Pacific Southwest Airlines en direction de San Francisco s'annonce paisible, des coups de feu retentissent dans la cabine. L'avion s'écrase subitement, causant la mort des 43 personnes ayant pris place à son bord. Le FBI et la NTSB s'associent pour tenter de comprendre le déroulement du drame.
Atterrissage extrême (Vol 110 TACA)
Le 24 mai 1988, le vol TACA 110 entame sa descente vers La Nouvelle-Orléans. Les deux moteurs de l'avion tombent en panne, entraînant l'appareil dans une chute brutale. Les pilotes tentent de redémarrer les moteurs mais se trouvent contraints d'arrêter la procédure lorsque l'appareil se met en surchauffe. Avec 38 passagers paniqués à bord, les pilotes réussissent l'un des atterrissages les plus spectaculaires jamais vus dans l'histoire de l'aviation. Que s'est-il exactement passé ce jour-là à bord du Boeing 737 ?
L'Avion invisible (Vol 686 Scandinavian Airlines & Vol privé)
Le 8 octobre 2001, à Milan, deux avions entrent en collision dans un ciel nimbé de brouillard. Un DC-10 de la Scandinavian Airlines, transportant 110 passagers à destination de Copenhague, percute un Cessna en partance pour Paris, avec à son bord quatre personnes. Les 114 passagers sont tués, ainsi que quatre Italiens au sol : il s'agit là du pire accident que l'aviation italienne ait connu.
Explosion à Sioux City (Vol 232 United Airlines)
Les enquêteurs tentent de découvrir pourquoi le moteur central du vol 232 d'United Airlines a explosé alors que l'avion planait à 11 000 mètres du sol.
Perte de contrôle (Vol 8 Reeve Aleutian Airways)
8 juin 1983 : en route pour Seattle, le vol Reeve Aleutian Airlines 8 est à 6000 mètres d'altitude, quand l'une des hélices se casse et perce la coque de l'avion. Les pilotes tentent tant bien que mal de garder le contrôle sur l'appareil mais les moteurs restent bloqués, rendant tout pilotage quasi impossible. La cabine se remplit progressivement de fumée et la panique monte à bord : l'avion est au bord de l'explosion et se dirige tout droit dans l'océan pacifique, sans que l'équipage puisse y faire quelque chose.
Feu en cabine (Vol 592 ValuJet)
11 Mai 1996 : le vol ValuJet 592 décolle de Miami après un retard d'une heure et quatre minutes, dû à des problèmes techniques. Six minutes plus tard, l'équipage note un problème électrique et entend un bruit étrange provenant de l'appareil. Presque instantanément, la cabine est en feu et la panique monte à bord. Les pilotes tentent de faire demi-tour, Mais à 14h14, soit 4 minutes plus tard, l'avion disparaît des radars. Il se crashe dans un marécage à l'ouest de Miami, tuant les 110 personnes à bord.
Décollage lors d'un typhon (Vol 006 Singapore Airlines)
31 Octobre 2000 : Taiwan se prépare à affronter un nouveau cyclone tropical. Le vol Singapore Airlines 006 a donc tout intérêt à décoller rapidement pour entamer son vol vers Los Angeles. Mais alors qu'il s'engage dans la piste, le pilote perd le contrôle de l'appareil qui oscille violemment et finit par se crasher, tuant 83 des 179 personnes à bord. Aujourd'hui, les enquêteurs tentent de découvrir ce qui a pu provoquer cet accident catastrophique.
Poussé à bout (Vol 185 SilkAir)
19 décembre 1997 : le vol SilkAir 185 provenant de Jakarta, en direction de Singapour, se trouve à plus de 10 000 mètres d'altitude au-dessus de la jungle indonésienne, lorsque l'avion vire soudainement sur la droite avant de plonger à pic et s'écraser dans une rivière. Tous les 104 passagers périssent dans cet accident et les enquêteurs doivent alors comprendre ce qui s'est vraiment passé. Ils suspectent un problème mécanique mais lorsque la vérité derrière le crash est révélée, elle s'avère plus terrible que ce que personne n'aurait pu imaginer...
Atterrissage à l'aveugle (Vol 204 TANS Perú)
23 août 2005 : alors que le vol TANS 204 s'approche de Pucallpa au Pérou, une averse de grêle et de pluie s'abat sur le Boeing. Cette intempérie empêchant l'équipage de voir la piste et donc d'atterrir, le pilote finit par perdre le contrôle de l'appareil. S'en suit un dramatique crash dans la jungle où 40 personnes périssent. Les experts enquêtent sur cette tragédie.
Désastre dans le Grand Canyon (Vol 718 United Airlines & Vol 2 TWA)
30 juin 1956 : deux avions entrent en collision en plein ciel et se crashent dans le grand Canyon. Il n'y a aucun survivant. Seulement munis de quelques outils rudimentaires, les enquêteurs de l'époque vont découvrir un problème terrifiant, menaçant la sécurité de tout le système d'aviation.
Crash présidentiel (Accident de l'avion présidentiel polonais)
10 avril 2010 : le président de la Pologne Lech Kaczynski, son épouse ainsi que toute une délégation du gouvernement sont tués lors d'un crash aérien à l'approche de l'aéroport militaire russe. La Pologne et la Russie lancent toutes deux des enquêtes officielles afin de découvrir la cause de cet accident. Le pilote est d'abord mis en cause lorsque l'on découvre qu'il avait décidé d'atterrir malgré un épais brouillard mais les enquêteurs se rendent également compte qu'il y a bien plus qu'une erreur de pilotage derrière ce drame...
Record mortel (Vol 191 American Airlines)
25 mai 1979 : quelques secondes après le décollage du vol American Airlines 191 de Chicago, le moteur gauche de l'avion se détache soudainement. L'équipage perd alors le contrôle de l'appareil et celui-ci s'écrase, faisant 273 morts. Il s'agit de l’accident le plus dévastateur aux États-Unis d'Amérique. Les enquêteurs essayent de comprendre pourquoi l'un des avions les plus populaires s'est désintégré de la sorte.
Game over (Vol 9633 Yak-Service)
7 septembre 2011 : l'une des équipes de hockey les plus populaires de Russie s'apprête à décoller pour Minsk à bord du Yak-42D. Bizarrement, l'avion ne décolle pas, parcourt à la place la totalité du tarmac et finit son chemin dans la rivière Volga après avoir percuté une tour. Seul le mécanicien à bord survit au désastre. Le président de Russie demande des réponses et les enquêteurs travaillent donc sous pression pour déterminer ce qui a bien pu se produire...
Panne moteurs (Vol 173 United Airlines)
28 décembre 1978 : le vol d'United Airlines 173 essaye de régler un problème de train d'atterrissage lorsque l'avion perd soudainement ses quatre moteurs. L'appareil n'a plus le temps d'atterrir et se crashe près de Portland. 10 des 189 personnes à bord perdent la vie et les enquêteurs doivent découvrir comment un problème de matériel d'atterrissage a pu amener un avion à s'écraser.
Explosion suspecte (Vol 409 Ethiopian Airlines)
25 janvier 2010 : en route vers Addis Abeba, un vol 409 de l'Ethiopian Airlines reçoit l'ordre de changer de route alors qu'il gagne en altitude. Le pilote prend bien la demande en compte, mais quelques instants plus tard, l'avion perd le contrôle et s'écrase dans la mer méditerranée. Des témoins affirment avoir vu une explosion avant le crash - les enquêteurs pensent à un acte de terrorisme. Au fur et à mesure que les investigations progressent, ils vont parvenir à une conclusion bien différente... et plus controversée.
28 secondes pour survivre (Vol 518 Santa Bárbara Airlines)
21 février 2008 : le vol Santa Bárbara Airlines 518 en provenance de Mérida pour Caracas a décollé depuis 10 minutes lorsqu'une alarme retentit. Le pilote est informé qu'ils sont trop près du sol et avant que l'équipage puisse déterminer quoi faire, l'appareil s'écrase contre le sommet d'une montagne. Les 46 personnes à bord n'y survivront pas. Les débris se trouvant à plus de 3000 mètres d'altitude, le défi est de taille pour les enquêteurs chargés d'expliquer ce désastre.
Le Crash du vol Rio-Paris (Vol 447 Air France)
1er Juin 2009 : les enquêteurs doivent faire face à l'un des cas les plus difficiles de tous les temps. Le vol Air France 447 disparaît au-dessus de l'océan Atlantique, faisant perdre la vie aux 228 personnes à bord. Dans un premier temps, les seules pistes tangibles sont une poignée de messages envoyés quelques instants avant que l'avion ne se crashe. Deux ans vont passer avant que l'épave et la boite noire ne soient retrouvées et que l'énigme du crash ne soit résolue.
Dispute mortelle (Vol 548 British European Airways)
Le 18 juin 1972, le vol 548 de la British Airways s'écrase dans un champ près de Staines alors qu'il était encore en phase de décollage. Les 118 passagers et membres d'équipage sont tués sur le coup. Faute d'enregistreur de conversations dans le cockpit, les enquêteurs comptent sur une reconstitution minutieuse et sur les déclarations des témoins pour déterminer les circonstances de l'accident. Le rapport d'enquête établira qu'un des membres de l'équipage avait rétracté les becs de bord d'attaque par erreur, provoquant la chute du Hawker Siddeley Trident.
Le Fleuve glacé (Vol 90 Air Florida)
En 1982, après le crash du vol 90 d'Air Florida dans le fleuve Potomac, les enquêteurs ont eu recours à une expérience ingénieuse pour expliquer l'accident.
Sécurité aérienne défaillante (Vol 706 Hughes Airwest)
Les enquêteurs tentent d'expliquer la collision entre un F-4 Phantom, un avion militaire des Marines, et un Hughes Airwest DC-9, survenue le 6 Juin 1971.
Catastrophe dans le Queens (Vol 587 American Airlines)
12 Novembre 2001 : le vol 587 de l'American Airlines tombe du ciel et s'écrase sur un quartier densément peuplé. Ce drame arrivant juste deux mois après les événements du 11 septembre 2001, les Etats-Unis croient à nouveau à une attaque terroriste. Les agents du FBI se joignent donc à une équipe d'enquêteurs du Conseil National de la Sécurité des Transports américain, le NTSB, afin de déterminer ce qu'il s'est passé et après qu'un morceau de l'avion soit retrouvé dans une baie voisine en Jamaïque, les enquêteurs comprennent que l'accident est dû à une erreur tragique...
Perte de repères (Vol 498 Crossair)
10 Janvier 2000 : peu après son décollage de l'aéroport de Zurich, le vol Crossair 498 vire brusquement vers la droite et tourne en spirales jusqu'à s'écraser, ne laissant aucun survivants. Les enquêteurs soupçonnent en début d'investigation les interférences d'un téléphone portable qui aurait pu affectées le vol. Mais la découverte de drogue dans le bagage du Commandant de bord suggère une explication plus alarmante.
Au cœur de la tempête (Incident du chasseur de cyclone NOAA42)
15 septembre 1989 : à bord d'un avion de reconnaissance météorologique, une équipe de chasseurs d'ouragans est dans une situation désespérée alors que leur moteur en feu paralyse leur avion. Des enquêteurs tentent de comprendre comment ces chasseurs d'ouragan ont manqué d'être tués dans l'exercice de leurs fonctions.
Terreur au paradis (Vol 1121 Air Moorea)
9 août 2007 : le Vol 1121 de l'Air Moorea se rend à Tahiti lorsqu'il tombe et s'écrase soudainement dans l'océan, tuant les 20 personnes à bord. Une fois la boîte noire récupérée, l'enregistreur de voix donne un indice crucial et une explication inattendue de l'accident...
Test mortel (Vol 888T XL Airways Germany)
27 novembre 2008 : dans le sud de la France, un équipage hautement qualifié teste un avion de ligne commerciale. Alors qu'ils se préparent à l'atterrissage, le capitaine perd soudain le contrôle de l'Airbus A320 qui chute en spirales dans la mer Méditerranée. Cet avion de ligne est le premier engin à utiliser des contrôles informatisés avancés. Les enquêteurs doivent absolument découvrir si l'avion le plus populaire au monde possède un vice caché.
Massacre au-dessus de la Méditerranée (Vol 870 Aerolinee Itavia)
27 juin 1980 : le vol Itavia 870 explose subitement au-dessus de la mer Méditerranée. Un journaliste italien met le feu aux poudres en écrivant en première page, que l'avion a été la malheureuse cible de tirs croisés entre des avions de chasse de l'OTAN et de la Libye. C'est le choc dans le monde entier et il faudra 30 ans et trois enquêtes officielles pour déterminer si le Vol 870 a été abattu par un missile égaré ou par une bombe terroriste.
Le Titanic du ciel (Vol 32 Qantas)
4 novembre 2010 : peu après son décollage de Singapour, l'Airbus A380 du vol Qantas 32 est contraint de rebrousser chemin, en raison d'une explosion de la turbine du réacteur n°2, qui a endommagé l'aile et plusieurs dispositifs de contrôle. Les 469 passagers s'en tireront tous sains et saufs.
Panne de moteur (Vol 92 British Midland)
8 janvier 1989 : de fortes vibrations et l'odeur de fumée alertent les pilotes du vol British Midland 92 : un moteur est en feu. L'équipe éteint le moteur et tente d'atterrir à l'aéroport le plus proche mais leur second moteur lâche avant qu'ils n'aient pu rejoindre le sol en toute sécurité. A seulement quelques mètres de la piste, le 737-400 percute un talus le long de la très fréquentée autoroute M1 britannique. Ce crash semble a priori lié à une double panne de moteur, même s'il s'agit d'un fait rare. Pourtant, les enquêteurs ne vont pas tarder à découvrir qu'une tragique méprise pourrait bien être la véritable cause de cet accident.
Niki Lauda : tragédie dans le ciel (Vol 004 Lauda Air)
26 Mai 1991 : le propriétaire de compagnie aérienne et pilote de Formule 1 Niki Lauda se joint aux enquêteurs afin de déterminer pourquoi le vol Lauda 004 a plongé en piqué avant de s'écraser durant un vol Bangkok - Vienne. Il découvre rapidement un défaut de conception troublant qui pourrait affecter les avions de transport de passagers dans le monde entier.
Le Concorde en flamme (Vol 4590 Air France)
25 juillet 2000 : un Concorde (F-BTSC) s'écrase en flammes juste quelques instants après avoir décollé de l'aéroport Charles de Gaulle à Paris. La majeure partie de l'épave est réduite en cendres par l'incendie mais trois mystérieux éléments sont découverts sur la piste : un morceau cassé de réservoir d'essence, des éclats de pneus et une étrange bande de métal. Les enquêteurs français doivent maintenant comprendre de quelle manière ces curieux indices sont liés à la catastrophe et comment ils ont pu déclencher ce drame meurtrier.
La malédiction Kennedy (Vol privé sur Piper 32 Saragotta II)
16 juillet 1999 : JFK Junior, le célèbre fils du président américain John F. Kennedy est aux commandes de son nouveau Piper Saragota pour un vol reliant le New jersey à Martha's Vineyard lorsque l'avion disparaît. Des recherches massives confirment le pire et une pression importante repose sur les épaules des enquêteurs qui doivent déterminer ce qui a entraîné la chute de l'appareil.
Disparition troublante (Vol 254 Varig)
3 septembre 1989 : les enquêteurs font face à un mystère déroutant lorsque le vol 254 de Varig se crashe dans une jungle reculée à près de 1126 km de sa trajectoire. Dans un premier temps, les enquêteurs suspectent un mauvais fonctionnement des instruments de navigation à bord de l'avion. Mais ils découvrent rapidement que le crash pourrait bien être la conséquence d'une terrible erreur.
Carnage en banlieue (Vol privé sur Learjet 45)
5 novembre 2008 : un Learjet 45 transportant le ministre mexicain de l'Intérieur s'écrase en plein cœur du quartier des affaires, à Mexico, entraînant la mort des neufs passagers et de sept personnes au sol. On soupçonne dans un premier temps les puissants cartels mexicains de la drogue d'avoir causé le crash. Mais l'enquête prend un tout nouveau tour lorsque les enquêteurs écoutent l'enregistrement des voix du cockpit.
Le sort s'acharne (Vol 7100 Manx2)
10 février 2011 : c'est un jour de brouillard sur l'aéroport de Cork, en Irlande, les pilotes du vol 7100 de Manx2 font des tours au-dessus de l'aéroport en attendant que le ciel se dégage. Après avoir reçu l'autorisation du contrôle aérien, les pilotes de l'avion de transport régional à turbopropulseur réduisent leur vitesse et entament leur descente. Mais l'appareil se met à tanguer dangereusement avant de s'écraser sur la piste. C'est le crash le plus meurtrier qu'ait connu l'Irlande depuis des décennies. C'est l'Unité irlandaise d'enquête sur les accidents aériens qui est chargée de découvrir ce qui s'est passé. Ils s'aperçoivent rapidement que le brouillard n'est qu'une petite partie de l'histoire. L'enquête révèle une importante faille dans la sécurité aérienne qui met en péril la vie des passagers.
Le mystère du vol 370 Malaysia Airlines (Vol 370 Malaysia Airlines)
8 mars 2014 : c'est l'un des plus grands mystères de l'aviation de tous les temps, la disparition du vol 370 de la Malaysia Airlines. Des experts de l'aviation étudient les indices et se confrontent à une théorie des plus troublantes.
Évanouis dans la jungle (Vol 201 Copa Airlines)
6 juin 1992 : le vol 201 de la Copa Airlines décolle de l'aéroport de Panama pour un vol d'une heure en direction de Cali, en Colombie. Mais avec une importante tempête qui se profile à l'horizon, les pilotes modifient leur plan de vol pour éviter le mauvais temps. Après 12 minutes de vol, le capitaine joint le contrôle aérien par radio pour annoncer que l'avion a atteint son altitude de croisière, à 7 600 mètres. Mais quelques instants plus tard, l'avion disparaît des radars au-dessus de l'une des jungles les plus reculées de la planète.
Tragédie à Narita (Vol 14 FedEx Express & Vol 80 FedEx Express)
23 mars 2009 : le vol 80 de FedEx Express s'écrase et prend feu sur la piste de l'aéroport de Tokyo Narita au Japon, tuant sur le coup les deux pilotes, seuls présents à bord de l'appareil. Alors qu'un autre avion (vol FedEx 14) s'était écrasé à l'aéroport de Newark le 31 juillet 1997. Les deux pilotes s'en étaient sortis.
Drame en arctique (Vol 6560 First Air)
20 aout 2011 : les enquêteurs du Bureau canadien pour la sécurité des transports chargés de faire la lumière sur le crash du vol First Air 6560 ont fort à faire. En effet, le Boeing 737-200 s'est écrasé près de Resolute Bay, l'un des aéroports les plus reculés du monde alors qu'un important exercice d'entraînement militaire avait lieu à proximité.
Transmission fatale (Vol 5925 United Express & Vol privé)
19 novembre 1996 : le vol United Express 5925 entre en collision avec un petit avion privé. Les enquêteurs ne parviennent pas à trouver une explication à ce drame jusqu'à ce qu'ils apprennent qu'un mystérieux pilote manquant pourrait bien avoir joué un rôle dans la tragédie de manière bien involontaire.
Terrible conclusion (Vol 200 Garuda Indonesia)
7 mars 2007 : après un court vol en provenance de Jakarta, la capitale indonésienne, le Boeing 737 du vol Garuda 200 frappe le sol du Yogyakarta si fort qu'il rebondit à deux reprises avant d'être éjecté de la piste. Sur les 140 passagers se trouvant à bord, 21 sont tués. Les enquêteurs sont sous pression pour apporter des réponses rapides concernant l'accident. Après plusieurs pistes n'ayant pas abouti, ils font une incroyable découverte concernant la manière dont l'avion a été configuré pour l'atterrissage. L'analyse de l'enregistrement audio du cockpit leur apporte là encore des réponses surprenantes.
Livraison mortelle (Vol 006 UPS Airlines)
3 septembre 2010 : peu après avoir décollé de l'aéroport de Dubaï, une alarme incendie retentit à bord du Boeing 747 cargo jet du vol UPS 6. Pensant pouvoir circonscrire le brasier, les pilotes activent le système d'extinction d'incendie mais la situation s'aggrave et il devient urgent de poser l'imposant 747. Alors qu'ils font demi-tour vers la piste, la fumée s'infiltre dans le cockpit, aveuglant les deux pilotes. Lorsque le système d'oxygène du capitaine tombe en panne, le premier officier se retrouve soudainement seul aux commandes. Incapable de voir ses instruments, il improvise sa propre procédure d'urgence. Une communication de fortune pourrait bien être son seul espoir. Mais faire atterrir l'avion à Dubaï est une véritable course contre la montre et les événements jouent contre lui.
Terreur à San Francisco (Vol 214 Asiana Airlines)
6 juillet 2013 : le Boeing 777 du vol 214 Asiana Airlines heurte une digue sur l'aéroport international de San Francisco. Les enquêteurs pensent alors à une erreur de pilotage qui aurait conduit au crash. Mais lorsque toute la lumière est faite, ils font face à un problème bien plus épineux qui pourrait mettre en danger des passagers du monde entier.
Catastrophe en haute altitude (Vol 1862 El Al)
4 octobre 1992 : le vol El Al 1862 fait route vers Tel Aviv après avoir décollé de l'aéroport Schiphol d'Amsterdam avec une lourde cargaison de marchandises. Mais quelques minutes plus tard, un choc secoue l'appareil qui commence à vriller violemment sur la droite. Le pilote parvient à reprendre le contrôle mais à quelques minutes seulement de l'aéroport, le Boeing 747 se remet à basculer sévèrement vers la droite en direction d'un quartier résidentiel sur lequel il s'écrase. C'est la pire catastrophe aérienne connue par les Pays-Bas. Alors que les enquêteurs passent au peigne fin tous les débris de l'appareil, ils découvrent un problème potentiellement mortel qui menace chacun des 747 présents dans les airs.
Impact explosif (Vol 2311 Atlantic Southeast Airlines)
Avec à son bord un astronaute de la NASA, un ancien sénateur américain et 21 autres passagers, le crash du vol régional 2311 Atlantic Southeast Airlines le 5 avril 1991 a fait les gros titres des journaux du monde entier. Rapidement, les enquêteurs ont élaboré une théorie expliquant le crash. Un seul problème, le fabricant de l'Embraer EMB-120 affirme que cela est totalement impossible. Suivant son intuition, un enquêteur met sa réputation en jeu pour découvrir ce qui s'est réellement passé durant ce vol.
Carnage à São-Paulo (Vol 402 TAM)
31 octobre 1996 : peu après son décollage de l'aéroport Congonhas de São Paulo, au Brésil, le Fokker 100 du vol TAM Airlines 402 s'écrase sur un quartier résidentiel et prend feu, tuant les 95 personnes qui se trouvaient à bord. Les enquêteurs des forces aériennes brésiliennes se joignent aux équipes du Conseil national de la sécurité des transports américain et découvrent une série d’événements qui ont conduit à une défaillance si rare qu'elle paraît impossible.
Au bord du désastre (Vol 670 Atlantic Airways)
10 octobre 2006 : le vol Atlantic Airways 670 transporte les employés d'un groupe pétrolier vers leur lieu de travail. Lors d'un arrêt de routine sur la petite île norvégienne de Stord, le British Aerospace 146 quitte la piste et dévale le ravin. L'un des moteurs est toujours en marche, plusieurs sorties sont bloquées et l'avion ne met pas longtemps à s'enflammer. Parmi les seize membres d'équipage et passagers, quatre ne parviennent pas à s'extirper de l'appareil et décèdent dans l'accident. Ne restant presque rien de l'épave, c'est une mystérieuse substance retrouvée sur la piste qui pourrait bien aider les enquêteurs à comprendre ce qui a provoqué cette tragédie.
Mission mortelle (Accident du DC-6 Ndola des Nations Unies)
18 septembre 1961 : un avion de transport DC-6 des Nations Unies vole pour une mission top secrète au-dessus de l'Afrique centrale avec à son bord le Secrétaire Général de l'ONU, Dag Hammarskjöld. Mais peu avant l'atterrissage, l'avion s'écrase mystérieusement à quelques kilomètres seulement de la piste. La mort de l'un des principaux leaders mondiaux est un véritable choc. Les enquêteurs du gouvernement rhodésien concluent finalement à une erreur de pilotage mais les sceptiques sont nombreux à ne pas adhérer à la thèse officielle et à penser que Hammarskjöld a été assassiné. Lorsque, 50 ans plus tard, des preuves d'une attaque organisée sur l'avion de Dag Hammarskjöld refont surface, une commission spéciale est créée pour mener une nouvelle enquête controversée sur l'un des légendaires mystères de l'aviation.
Retard mortel (Vol 5022 Spanair)
20 août 2008 : le MD-82 du vol Spanair 5022 prend un virage à droite, s'écrase dans une crique et prend feu, peu après son décollage de l'aéroport international de Madrid-Barajas. Avec un total de 154 victimes, c'est la pire catastrophe aérienne que l'Espagne ait connu depuis des décennies. Les enquêteurs penchent rapidement pour une théorie concernant les causes de l'accident mais des preuves contradictoires dans les enregistrements du cockpit les orientent finalement dans une autre direction.
Silence de mort (Vol privé sur Learjet 35)
25 octobre 1999 : en partance pour Orlando au départ de Dallas, un Learjet privé transportant le célèbre golfeur Payne Stewart disparaît des radars. Les contrôleurs aériens ne parviennent pas à joindre l'équipage, et tandis que l'avion poursuit sa trajectoire hasardeuse au-dessus du Midwest, il est évident que quelque chose de terrible s'est produit. Un avion de chasse Air Force F-16 tente de l'intercepter, mais ses hublots givrés et son cockpit assombri confirment la terrible réalité : le Learjet est maintenant un avion fantôme.
L'Attaque du Pentagone (Vol 77 American Airlines)
11 septembre 2001 : peu après avoir décollé de Washington D.C., des terroristes s'introduisent dans le cockpit du vol 77 d'American Airlines et font s'écraser l'avion sur le Pentagone. Le symbole de la puissance militaire américaine est en flammes. Pendant ce temps à New York, des avions de ligne ont touché les deux tours du World Trade Center. Le pays est attaqué, on dénombre près de 3000 morts et le FBI lance la plus grosse enquête de l'histoire des Etats-Unis.
Désastre à Tenerife (Vol 1736 PanAm & Vol 4805 KLM)
27 mars 1977 : un attentat terroriste aux îles Canaries redirige des dizaines de vols vers l'île espagnole de Tenerife. Un petit aéroport est pris d'assaut, et de nombreux avions stationnent dans la zone de manœuvre : les contrôleurs aériens indiquent aux avions sur le départ d'utiliser la seule piste de l'aéroport pour décoller. Parmi eux, deux 747 dissimulés par un brouillard épais. Mais le vol 1736 de la Pan Am est toujours sur la piste lorsque le vol KLM 4805 fonce sur lui. Cette collision à grande vitesse, qui a causé la mort de 583 personnes, demeure la catastrophe aérienne la plus mortelle.
Un détail crucial (Vol 120 China Airlines)
20 août 2007 : après un vol d'une heure depuis Taïwan, le vol 120 de China Airlines se pose à Okinawa, au Japon. Les pilotes posent le Boeing 737 et éteignent les moteurs. Mais au moment où ils terminent le processus habituel, un feu se déclare et l'appareil est englouti par les flammes. Miraculeusement, tous les passagers parviennent à sortir sans se blesser, mais cette catastrophe donne du fil à retordre à toute une équipe d'enquêteurs. Éclaircir ce mystère semble être une quête infinie car les moindres composants sont soumis à des analyses. Ils découvrent finalement le minuscule défaut qui a mis de nombreuses vies humaines en danger.
Détour mortel (Vol 706 Proteus Airlines & Vol privé)
30 juillet 1998 : au plus fort de l'été dans le Nord-Ouest de la France, les pilotes du vol 706 de Proteus Airlines dévient de leur trajectoire pour voir du pays. Déterminés à faire admirer aux passagers un magnifique panorama de la côte française, ils font une boucle autour de la baie de Quiberon. Mais tandis qu'ils réalisent leur virage à 360 degrés, l'avion explose brutalement. À bord d'un avion non loin de là, un journaliste local immortalise la scène tandis que des débris tombent du ciel et s'enfoncent dans l'océan. Le mystère semble entier – malgré des milliers de témoins oculaires, personne ne semble savoir ce qui s'est passé.
Approche dangereuse (Vol 2286 Trans-Colorado Airlines)
19 janvier 1988 : le vol 2286 de Continental Express, qui transporte des passagers de Denver à Durango, dans le Colorado du sud, s'apprête à atterrir lorsqu'il se crashe dans un paysage glacé à quelques kilomètres de la piste. Après l'intervention des secours, c'est au tour des enquêteurs de déterminer la cause de l'accident. Leur longue quête les mène dans des impasses, jusqu'à ce qu'un détail les achemine à une conclusion choquante.
Meurtres dans les airs (Vol 9525 Germanwings)
24 Mars 2015 : entre Barcelone et Düsseldorf, le vol 9525 de Germanwings s'approche des Alpes françaises lorsqu'un contrôleur aérien remarque que l'avion perd de l'altitude à une vitesse alarmante. La tour de contrôle est en état d'urgence mais n'obtient aucune réponse du cockpit, et l'Airbus A-320 ne tarde pas à disparaître des radars. Plusieurs heures sont nécessaires pour localiser le lieu du crash, et l'espoir de trouver des survivants faiblit. Seuls des débris et de nombreuses questions subsistent. Tandis que les preuves s'accumulent, les enquêteurs font face à une explication si sinistre qu'elle est presque impossible à croire.
En eaux troubles (Vol 421 Garuda Indonesia)
16 Janvier 2002 : le vol 421 de Garuda Indonesia survole les îles indonésiennes pendant l'imprévisible saison des pluies lorsqu'il s'engouffre dans une énorme tempête. Le Boeing 737 est secoué par des turbulences si puissantes que ses pilotes manquent d'en perdre le contrôle. Lorsque les deux moteurs prennent feu, ils parviennent à effectuer un atterrissage d'urgence remarquable. Des soixante passagers et membres de l'équipage à bord, tous sauf un en sortent vivants. Tandis que des équipes commencent à repêcher les débris de l'avion dans le fleuve Solo, les enquêteurs indonésiens cherchent des réponses.
Solution mortelle ( Vol 8501 Indonesia AirAsia)
28 Décembre 2014 : le vol Air Asia 8501 disparaît des radars au-dessus de la Mer de Java, et deux jours plus tard, les chercheurs confirment le pire. Les 162 personnes à bord ont perdu la vie, et une équipe d'enquêteurs du monde entier rejoint les experts locaux, à Jakarta, pour déterminer ce qui s'est passé. Aucune des boîtes noires ne dévoile la vérité, mais il est clair qu'un geste mystérieux du commandant de bord pour résoudre un problème de routine a engendré une série d'événements mortels.
Cauchemar afghan (Vol 102 National Airlines)
29 avril 2013 : le vol National Airlines 102, qui transporte des marchandises militaires dans un Boeing 747 reconverti, décolle de l'aérodrome de Bagram, en Afghanistan. Mais quelques secondes plus tard, l'avion incontrôlable cale et se crashe sur le sol. L'accident est immortalisé par une dashcam, et bien que la vidéo mène d'abord les enquêteurs sur une conclusion évidente, une preuve vient ensuite leur confirmer qu'ils se trompaient complètement.
Attitude mortelle (Vol Northwest Airlink 5719)
01 décembre 1993 : après un vol de routine d'une heure en partance de Minneapolis, le vol Northwest Airlink 5719 se crashe dans le nord du Minnesota, tuant tout le monde à bord. Les enquêteurs subissent des pressions énormes pour déterminer la cause du drame. L'enregistreur de voix du cockpit soulève des questions troublantes au sujet d'un pilote inexpérimenté. Mais au fur et à mesure que les enquêteurs creusent davantage, ils découvrent un schéma abusif qui a donné lieu à un manque de coopération des membres d'équipage.
Mythe mortel (Vol Comair 3272)
09 janvier 1997 : lorsqu'un vol régional à destination de Detroit se termine en une vrille mortelle, c'est aux enquêteurs d'en déterminer la cause et d'empêcher un tel accident de se reproduire. Ils étudient les débris de l'avion à la recherche d'indices et une analyse minutieuse des informations de vol finit par les mener à une conclusion incroyable : le vol 3272 était un danger connu de l'industrie depuis des années.
Point de rupture (Vol Air China 129)
15 avril 2002 : un Boeing 767 à destination de l'aéroport international de Gimhae, en Corée du Sud, se crashe dans une colline à quelques kilomètres de la piste. Tandis que la nation pleure la pire catastrophe aérienne qu'elle ait jamais connue, les enquêteurs font face à des preuves déroutantes : le capitaine du vol Air China 129, qui a survécu à l'accident, affirme que tout était normal à bord, mais les contrôleurs aériens attestent que ce n'était pas le cas des communications radio de l'équipage.
Preuve explosive (Vol TWA 800)
17 juillet 1996 : quelques minutes après son décollage de l'aéroport JFK, à New York, le vol TWA 800 est détruit par une énorme explosion. Avec un possible attentat sur les bras, le FBI prête main forte aux enquêteurs de la NTSB, qui cherche des réponses. Les deux agences espèrent des résultats rapides, mais l'enquête sur le vol TWA 800 va finir par les monter l'une contre l'autre, et devenir l'enquête la plus longue, la plus coûteuse et la plus ambitieuse jamais réalisée.
Un virage fatal (Vol Garuda Indonesia 152)
29 septembre 1997 : un impressionnant feu de forêt se propage dans les montagnes de l'île de Sumatra. En approche de l'aéroport de Medan, le vol 152 de la compagnie Garuda Indonesia survole les fumées de trop près. A quelques minutes avant d'atteindre la piste d'atterrissage, l'Airbus A-300 s'écrase dans la jungle. On ne compte aucun rescapé parmi les 234 passagers. Lors de l'enquête, un fait troublant est noté : au moment du crash, l'appareil s'éloignait de l'aéroport. Comment expliquer ce changement de couloir aérien ?
En pleine tempête (Vol 1016 USAir)
02 juillet 1994 : Alors qu’il entame son approche vers l’aéroport américain de Charlotte, en Caroline du Nord, le vol 1016 d’US Airways se retrouve pris dans une pluie si dense qu’elle empêche toute visibilité. Les pilotes décident d’annuler leur atterrissage et de faire demi-tour, mais l’avion décroche et s’écrase. Sur les 52 passagers, 37 sont tués. Parmi les survivants, les pilotes affirment que le crash est dû aux conditions météorologiques. Les enquêteurs découvrent cependant que la vérité n’est pas aussi simple.
Crash en direct (Vol TransAsia 235)
04 février 2015 : la caméra embarquée d’une voiture filme les derniers instants du vol 235 de TransAsia alors que l’avion vire à gauche, accroche un autopont et plonge dans le fleuve Keelung de Taipei. Les enquêteurs de l’aviation taïwanaise sont assaillis de questions. Pourtant, plus ils découvrent des indices, plus le mystère semble s’épaissir.
Terreur au-dessus de l'Égypte (Vol MetroJet 9268)
31 octobre 2015 : 20 minutes après avoir quitté la ville balnéaire de Charm el-Cheikh en Égypte, un avion transportant des touristes russes s'écrase. Du vol Metrojet 9268, ne restent plus que des débris carbonisés, éparpillés dans le désert du Sinaï. Une équipe d'enquêteurs internationaux se rend sur les lieux. Dans un premier temps, un groupe terroriste affilié à l'État islamique prétend avoir abattu l'avion suite aux attaques de l'armée russe en Syrie. Une enquête approfondie sera nécessaire pour découvrir la vérité.
L'Avion perdu (Vol Thai Airways 311)
31 juillet 1992 : le vol 311 de Thai Airways à destination de Katmandou survole les sommets de l’Himalaya quand il heurte une roche à 11 000 pieds d’altitude. Aucun radar de contrôle aérien ne permet aux enquêteurs de retrouver l’avion, qui s’est écrasé loin de son plan de vol. À l’issue de recherches harassantes, les débris sont retrouvés dans les montagnes au nord de Katmandou, sommets dangereux que l’avion n’aurait jamais dû survoler. Reste une question : comment s’est-il retrouvé ici ?
Discussions mortelles (Vol LAPA 3142)
31 août 1999 : alors que le vol 3142 de la compagnie Lineas Aeras Privadas Argentinas décolle de Buenos Aires, le Boeing 737 subit de violentes secousses, avant de s’écraser sur l’unique piste de l’aéroport. Propulsé à une vitesse de 160 nœuds, l’avion dépasse le périmètre de l’aéroport, traverse une autoroute très fréquentée, puis prend feu. Cette catastrophe laisse l’Argentine dans un état de sidération, qui ne fait qu’augmenter quand le pays découvre l’erreur ahurissante à l’origine de ce crash.
Les Rouages de la catastrophe (Vol 17 Emery Worldwide)
16 février 2000 : peu après son décollage d’un aéroport de Californie, un avion-cargo américain doit effectuer un atterrissage d’urgence. Alors que les pilotes parviennent à ramener le DC-8 à proximité de la piste d’atterrissage, l’avion endommagé s’écrase sur un terrain de récupération de métaux situé à l’est de l’aéroport. Afin de déterminer les causes de l’incident, les enquêteurs font appel à un ami et collègue de l’équipage. Pour découvrir ce qui a condamné l’équipage du vol 17 d’Emery Worldwide, des recherches approfondies et des preuves irréfutables seront nécessaires.
Emporté par le vent (Vol 222 TransAsia Airways)
23 juillet 2014 : après avoir tourné au-dessus du détroit de Taïwan dans l’attente qu’un cyclone se termine, le vol 222 de TransAsia s’écrase sur l’île taïwanaise de Penghu. Alors que les médias tiennent la tempête pour responsable, différentes preuves ne tardent pas à mettre les enquêteurs sur une autre piste. Six mois après les débuts de l’enquête, un second accident frappe la compagnie aérienne. Les enquêteurs découvrent alors un problème systémique aux conséquences désastreuses.
Faille au décollage (Vol 1141 Delta AirLines)
31 août 1988 : le vol 1141 de Delta Airlines à destination de Salt Lake City s’écrase peu après son décollage de l’aéroport Dallas-Fort Worth dans une explosion de flammes. Sur les 108 passagers présents à bord, 94 personnes survivent et 14 meurent alors qu’elles tentent d’échapper aux flammes et à la fumée. Ni la piste d’atterrissage ni les conditions météorologiques ne pouvant être tenues pour responsables, les enquêteurs sont convaincus que les raisons du crash sont à attribuer à l’avion ou à sa configuration.
Zone de guerre en Ukraine (Vol 17 Malaysia Airlines)
17 juillet 2014 : un avion commercial chute sur une zone de guerre dans l’est de l’Ukraine. Selon les éléments de preuve, un missile surface-air serait à l’origine de la catastrophe. Au milieu des spéculations des médias et dans un contexte de guerre, les enquêteurs sont bien décidés à obtenir des réponses pour les familles des 298 victimes. Des obstacles d’ordre politique ne cessent de se mettre en travers de leur chemin.
Test mortel en Indonésie (Accident du Soukhoï Superjet 100 sur le mont Salak)
09 mai 2012 : en Indonésie, lors d’un vol de présentation aux enjeux de taille, un Soukhoï SuperJet de fabrication russe percute de plein fouet une montagne, tuant tous les passagers à bord. Il s’agit de l’une des opérations de sauvetage les plus difficiles auxquelles ont été confrontés les enquêteurs indonésiens. Une fois face à la carcasse de l’avion, de nombreuses interrogations subsistent : comment un avion à réaction flambant neuf équipé d’un système de navigation sophistiqué et d’un équipage expérimenté à son bord a-t-il bien pu s’écraser dans la montagne ?
Explosion en orbite (Écrasement du VSS Enterprise)
31 octobre 2014 : au cœur du désert de Mojave, en Californie, des pilotes d’essai de la compagnie Virgin Galactic sont aux commandes d’un avion dédié aux vols suborbitaux. Alors que le vaisseau spatial prend de la vitesse vers les confins de l’atmosphère terrestre, avoisinant la vitesse du son, il se brise en mille morceaux et chute au sol. L’avenir des vols commerciaux dans l’espace est alors en jeu et les enquêteurs doivent faire la lumière sur les causes de l’accident
Chute libre (Vol 72 Qantas)
7 octobre 2008: l'Airbus A330 du vol Qantas 72, alors en croisière, subit une série de manœuvres brutales et non contrôlées par les pilotes lors d'un vol reliant l'aéroport de Singapour-Changi à l'aéroport de Perth, en Australie. 119 des 315 personnes à bord sont blessées. L’avion atterrit finalement à l’aéroport de Learmonth, à l'ouest de l'Australie. L'enquête n'a pas pu déterminer avec précision l'origine des erreurs. Les défaillances proviendraient du système ADIRU, qui a transmis des données erronées à l'ordinateur de bord. Une mise à jour des logiciels a été réalisée pour empêcher que se reproduise ce type de dysfonctionnement.
Inclinaison fatale (Vol 404 Alitalia)
Le vol 404 Alitalia était un vol assuré par un Douglas DC-9-32 au départ de l'aéroport de Milan-Linate à destination de l'aéroport international de Zurich victime d'un incident aérien le 14 novembre 1990 à 19 h 11 à proximité de Weiach, commune du Canton de Zurich en Suisse. L'accident s'est produit pendant la phase d'approche et de descente vers l'aéroport de Zurich et a été causé par le mauvais fonctionnement d'un récepteur de l'Instrument landing system (ILS) ayant entraîné une mauvaise évaluation de l'altitude par le commandant de bord. L'avion avec 46 personnes à son bord a percuté la montagne Stadlerberg à environ 8 km de la piste d'atterrissage, aucun passager n'a survécu.
Virage mortel (Vol 140 China Airlines)
26 avril 1994: l'Airbus A300 du vol China Airlines 140 subit un décrochage à basse altitude et s'écrase juste à côté de la piste alors qu'il approchait de l'aéroport de Nagoya, au Japon, tuant 264 des 271 personnes à bord. Les enquêteurs arrivent à la conclusion que le copilote a accidentellement activé le mode remise des gaz du pilote automatique pendant l'approche, entraînant l'appareil dans un cabrage immédiat. Les deux pilotes n'ont ensuite pas réagi correctement à la situation, leur confusion concernant les systèmes automatisés et de protection de l'Airbus et leur manque évident d'expérience et de formation sur cet appareil ont conduit à la catastrophe.
Les Dangers de l'hiver (vol 1713 Continental Airlines)
15 novembre 1987: le vol Continental Airlines 1713 décroche et s'écrase près de la piste peu après son décollage dans une tempête de neige de l'aéroport international Stapleton, à Denver dans le Colorado, tuant 28 personnes. Dans leur rapport final, le NTSB détermine que le DC-9 n'a pas pu prendre son envol à la suite de l'accumulation de glace sur ses ailes. De plus, les enquêteurs accablent les pilotes, et notamment le commandant de bord, qui n'a pas dégivré son avion une seconde fois, après un retard important. Un dépôt de glace a donc eu tout le temps de s'installer avant le départ et le copilote n'a fait qu'aggraver le problème en effectuant un décollage rapide et brutal, ce qui a amené l'avion à s'écraser très rapidement après sa rotation.
Descente mortelle (Vol 780 Cathay Pacific)
Au départ de l’Indonésie et à destination de Hong Kong, le vol 780 de la compagnie Cathay Pacific survole la mer de Chine méridionale au moment où les deux moteurs de l’avion tombent en panne, transformant cet Airbus A-330 en un planeur de 200 tonnes. Après l’envoi de signaux de détresse, le commandant de bord, bien décidé à éviter un amerrissage aux conséquences désastreuses en plein océan, reprend le contrôle manuel de l’appareil. Suite à une lente augmentation de la commande des gaz, il ne parvient à redémarrer qu’un seul des moteurs défectueux. Mais celui-ci ne sera pas suffisant pour lui permettre de ralentir à l’approche de l’atterrissage.
Course contre la mort (Accident d'un P-51D)
À une centaine de mètres au-dessus du désert, six avions de chasse monomoteurs de la Seconde Guerre mondiale se préparent à la course aérienne de Reno. 30 000 spectateurs les regardent parcourir une boucle de 13 kilomètres à près de 725 km/h. À bord d’un P-51 Mustang modifié baptisé « The Galloping Ghost », la légende locale Jimmy Leeward est bien décidée à établir un nouveau record de vitesse. C’est alors que son avion chute soudainement en pleine course, descend en spirales avant de s’écraser sur le tarmac face aux tribunes. Il s’agira de l’une des pires catastrophes aériennes de tous les temps lors d’une course. Les enquêteurs feront appel à l’un des amis proches du pilote afin qu’il les aide à reconstituer le puzzle de l’accident.
À la frontière (Vol 808 American International Airways)
Un avion-cargo américain tente un atterrissage délicat sur la base navale de la baie de Guantánamo, à Cuba. La piste n’étant qu’à quelques mètres de la frontière armée, la manœuvre implique d’éviter l’espace aérien cubain. Mais son approche finale tourne mal et le DC-8 vient s’écraser en bout de piste. Les enquêteurs s’interrogent alors sur le potentiel rôle de Cuba dans la catastrophe mais finissent par découvrir un coupable inattendu qui menace la vie des pilotes d’avion-cargo aux quatre coins du monde.
Une approche fatale (Vol 433 KLM Cityhopper)
L’équipage du vol 433 de KLM Cityhopper, en provenance d’Amsterdam et à destination de Cardiff, signale un problème moteur et amorce un retour vers l’aéroport. Alors que l’avion s’apprête à atterrir, le double turbopropulseur s’incline brusquement sur la droite, l’aile érafle le sol et l’appareil s’écrase sur un champ à proximité de la piste d’atterrissage. Sur les 24 personnes à bord, 2 passagers ainsi que le capitaine n’en sortent pas vivants. L’enquête du Bureau de la sécurité néerlandais déterminera qu’un problème de câblage mineur est à l’origine d’une série d’erreurs fatales.
Chute fatale (Vol 101 Fine Air)
Le vol 101 de la compagnie Fine Air à destination de la République dominicaine décolle de Miami avec plus de 40 000 kilos de denim à son bord. Quelques instants après le décollage, l’avion s’écrase au sol, avant de foncer sur une autoroute et de terminer sa course dans un bâtiment. Des centaines de spectateurs assistent au désastre. Ce n’est que grâce à une indication anonyme que les enquêteurs, bien décidés à faire la lumière sur les événements, parviendront à élucider l’affaire.
Catastrophe à Bucarest (Vol 371 TAROM)
Quelques minutes après son décollage de Bucarest, en Roumanie, le vol 371 de la compagnie Tarom s’incline brusquement sur la gauche, modifie sa trajectoire et s’écrase dans un champ. Il s’agit de la catastrophe aérienne la plus meurtrière de l’histoire du pays et les rumeurs d’une bombe à bord ne tardent pas à aller bon train dans les journaux nationaux à la récente liberté de parole. Les enquêteurs roumains font appel au FBI afin de déterminer la nature de l’événement – accident ou homicide. Mais ce sera la voix du commandant de bord lui-même qui lèvera le voile sur la cause réelle du désastre.
Le Coupable des Rocheuses (Vol 1404 Continental Airlines)
Alors que le vol 1404 de Continental Airlines prend de la vitesse sur la piste de décollage de l’aéroport international de Denver, l’appareil dévie soudainement de la piste, avant de s’écraser et de s’embraser. Tous les passagers sortent sains et saufs mais les enquêteurs doivent désormais découvrir les causes de l’incident. Tout semble d’abord pointer du doigt un dysfonctionnement mécanique identifié auparavant sur d’autres Boeing 737. Mais c’est au cœur des montagnes Rocheuses que les enquêteurs finissent par mettre la main sur le véritable coupable…
Limites fatales (Vol 821 Aeroflot)
Au départ de Moscou et à destination de Perm, en Russie, le vol 821 d'Aeroflot Nord s’apprête à atterrir lorsque l’appareil chute soudainement au sol avant de s’écraser sur les rails du Transsibérien. Il ne reste du Boeing 737 que des débris carbonisés. Cette catastrophe cause la mort des 88 passagers à bord. Les enquêteurs soupçonnent tout d’abord un défaut de conception au niveau de la gouverne de direction de l’avion. Mais à mesure que leur enquête progresse, ils font une série de découvertes déconcertantes qui engendreront de nombreux changements au sein du système aéronautique du pays.
Tragédie footballistique (Vol 2933 LaMia Airlines)
Le vol 2933 de la compagnie LaMia entame sa descente vers Medellin avec l’équipe de football brésilienne Chapecoense à son bord lorsque l’équipage signale tout à coup une panne de carburant. Avant même que les contrôleurs aériens n’aient le temps de trouver un endroit où atterrir, l’avion s’écrase contre la crête d’une montagne, tuant presque la totalité des passagers à bord. Face à un monde du football en deuil, les enquêteurs subissent une pression sans précédent afin de faire la lumière sur les événements. Alors qu’ils examinent attentivement les pièces à conviction, ils découvrent une histoire troublante à base de cupidité et de pari assassin.
Couru d'avance (Vol 6291 United Express)
Au départ de Washington et à destination de Columbus, dans l’État américain de l’Ohio, le vol 6291 de United Express s’apprête à atterrir. À seulement un kilomètre de la piste, le bi-turbopropulseur s’écrase. Alors que trois survivants émergent des flammes, les trois membres d’équipage ainsi que deux autres passagers ne sortent pas vivants du drame. Si les débris carbonisés de l’appareil livrent peu d’indices aux enquêteurs, l’enregistreur vocal du poste de pilotage leur apporte la preuve irréfutable.
Atterrissage explosif (Vol 873 Uni Air)
Le 24 août 1999, le vol Uni Air 873 subit une explosion dans un compartiment bagages de la cabine passagers lors de son atterrissage à l'aéroport de Hualien, à Taïwan, entraînant la mort d'un passager. Le feu a contraint l'avion à s'arrêter sur la piste et l'équipage à ordonner une évacuation immédiate, sauvant ainsi 95 des 96 personnes présentes à bord. Les équipes d'urgence ont agi rapidement et éteint l'incendie qui avait consumé la majeure partie du fuselage supérieur. Il sera découvert plus tard que la cause de l'explosion était due au fait qu'un passager transportait à bord des conteneurs d'essence remplis. L'enquête a révélé que les conteneurs d'essence n'étaient probablement pas correctement attachés et que des vapeurs d'essence ont fui avant l'atterrissage. Ces dernières se sont ensuite enflammées lorsqu'une batterie de moto dans un compartiment bagages à proximité a été bousculée, probablement lors de l'atterrissage, déchargeant un arc électrique et provoquant le feu dans l'appareil.
Chaos sur la piste (Collision au sol de Détroit)
Le 3 décembre 1990, deux vols de Northwest Airlines entrent en collision sur une piste de l'aéroport métropolitain de Détroit, dans le Michigan, aux États-Unis, dans des conditions de faible visibilité. Après qu'un Douglas DC-9 soit entré par erreur et sans autorisation sur une piste en service, il a été percuté par un Boeing 727 au décollage. 8 personnes ont été tuées dans le DC-9 mais, miraculeusement, 36 passagers de l'avion sont sortis vivants ainsi que les 154 personnes présentes à bord du 727.
Crash à Katmandu (Vol 268 Pakistan International Airlines)
Le 28 septembre 1992, le vol Pakistan International Airlines 268 s'écrase à flanc de montagne alors qu'il approchait de l'aéroport international Tribhuvan de Katmandou, au Népal, tuant les 167 personnes à bord. Il s’agit de l'accident aérien le plus meurtrier sur le sol népalais. L'enquête conclut à des erreurs de la part des pilotes, notamment leur descente en dessous de l'altitude minimale de sécurité, et ce, à plusieurs reprises lors de l'approche. Le contrôle aérien, qui n'a émis aucun avertissement jusqu'à seulement quelques secondes avant l'impact ainsi que les cartes d'approche fournies par la compagnie, jugées peu claires et inadaptées, font partie des facteurs aggravants de la catastrophe.
Descente gelée (Vol 5428 Sol Líneas Aéreas)
Le 18 mai 2011, le vol Sol Líneas Aéreas 5428 décroche et s'écrase près de la ville de Los Menucos, dans la province de Río Negro, dans le centre de l'Argentine, tuant les 22 personnes à bord. La cause de l'accident a été attribuée à une importante formation de givre sur les ailes de l'avion. En effet, les dispositifs de dégivrage ont été submergés par l'intensité des conditions givrantes. En plus de cela, les pilotes n'ont pas correctement réagi pour empêcher l'avion de perdre de la vitesse et n'ont pas su correctement récupérer le décrochage de l'appareil.
Amerrissage dans l'Atlantique (Vol 91 Cougar Helicopters)
Le 12 mars 2009, le vol 91 de Cougar Helicopters s'écrase dans l'océan Atlantique près de la côte de l'île de Terre-Neuve alors qu'il effectuait un vol de cabotage vers des dépôts et navires pétroliers. Sur les 18 personnes présentes à bord, 17 sont décédées à la suite de l'accident. La cause principale du crash a été attribuée à un dysfonctionnement de la boîte de transmission principale de l'hélicoptère, ce qui a provoqué sa perte d'altitude et son écrasement en pleine mer. Le drame aurait été évité si la compagnie avait remplacé à temps trois goujons en titane par trois goujons en acier.
Angle d'attaque impossible (Vol 294 West Air Sweden)
Le 8 janvier 2016, le vol West Air Sweden 294, un vol cargo, s'écrase en route d'Oslo à Tromsø, en Norvège, après un dysfonctionnement d'une centrale inertielle ayant eu pour conséquence de produire des indications d'assiette erronées, notamment sur l'écran du commandant de bord. Après ce dysfonctionnement, les pilotes ont été incapables de répondre correctement à la panne et ont subi une désorientation spatiale. Ayant perdu leurs repères, les pilotes ont entraîné l'avion dans un piqué fatal. Les deux membres d'équipage ont été tués dans l'accident.
Sans crier gare (Vol 267 Trigana Air Service)
Le 16 août 2015, le vol Trigana Air 267 s'écrase à flanc de montagne alors qu'il approchait de sa destination à l'aéroport d'Oksibil, dans la province de Papouasie, en Indonésie. Les 54 occupants de l'avion sont tués. Il s'agit de l'accident le plus meurtrier d'un ATR 42. Les enquêteurs sont finalement arrivés à la conclusion que les pilotes étaient à l'origine de l'accident. En effet, ces derniers se sont écartés de la trajectoire d'approche tout en se rapprochant d'un massif montagneux. Les conditions météorologiques étant souvent imprévisibles dans la région, les pilotes n'ont sûrement pas vu la montagne à cause du brouillard, très présent localement. De plus, la compagnie aérienne a également été critiquée pour la gestion médiocre de sa flotte, ainsi que pour le matériel fourni aux pilotes comme les cartes d'approche, qui étaient erronées. Enfin, le GPWS n'a pas retenti pour avertir les pilotes de l'approche du relief dans les derniers instants du vol car celui-ci avait été déconnecté par les pilotes, pratique courante dans la compagnie à l'époque car il pouvait parfois émettre de fausses alarmes.
Un tueur dans le cockpit (Vol 470 LAM Mozambique Airlines)
Le 29 novembre 2013, le vol LAM Mozambique Airlines 470 s'écrase dans le parc national de Bwabwata en Namibie alors qu'il se dirigeait vers Luanda, en Angola. L'accident est dû à un acte intentionnel du commandant de bord, qui après s'être retrouvé seul dans le cockpit, a volontairement précipité l'avion vers le sol, tuant les 33 personnes présentes à bord.
Équipage tempétueux (Vol 507 Kenya Airways)
Le 5 mai 2007, le vol Kenya Airways 507 s'écrase en pleine nuit peu après son décollage lors d'une escale à Douala, au Cameroun. Aucun des 114 passagers et membres d'équipage n'a survécu. Au cours de l'enquête qui a suivi, il a été déterminé que les pilotes ont subi une désorientation spatiale. En effet, dans leur rapport final, les enquêteurs reprochent aux pilotes de ne pas avoir respecté des procédures de vol cruciales, de ne pas avoir correctement analysé et vérifié les instruments de bord et de ne pas avoir suffisamment communiqué sur la situation.
Tempête tropicale (Vol 8250 Aires)
Le 16 août 2010, le vol Aires 8250 s'écrase sur la piste de l'aéroport international Gustavo Rojas Pinilla de San Andrés, une petite île de la Colombie. Lors de l'atterrissage, dans des conditions de mauvais temps, les pilotes ont subitement perdu le contrôle de l'appareil qui s'est écrasé avant la piste de l'aéroport. Miraculeusement, sur les 131 personnes présentes à bord, tous ont survécu au crash mais une femme et une petite fille sont décédées plus tard des suites de leurs blessures. Près d'un an après l'accident, les enquêteurs ont révélé que les pilotes étaient à l'origine du crash. En effet, ils ont effectué une approche en dessous de l'altitude minimale de sécurité, croyant être bien plus haut qu'ils ne l'étaient, ils ont percuté le sol avant le seuil de piste, disloquant l'avion en trois morceaux.
Cauchemar en mer du Nord (Vol Loganair 6780)
Le 15 décembre 2014, le vol Loganair 6780 est frappé par la foudre lors de son approche sur l'aéroport de Sumburgh en Écosse. Alors que le commandant de bord annule l'approche en raison de conditions météorologiques difficiles, l'avion est frappé par un éclair.
Collision meurtrière (Vol Execuflight 1526)
Le 10 novembre 2015, le vol Execuflight 1526 décroche et s'écrase sur un immeuble inoccupé lors de son approche sur l'aéroport international Akron-Fulton dans l'État américain de l'Ohio, tuant les neuf personnes à bord. L'enquête du NTSB détermine que l'accident a été causé par une erreur de pilotage, un manque d'inspection de la FAA, qui n'a pas remarqué le manque de formation de l'équipage, ainsi qu'une maintenance et des opérations de la compagnie inadéquates.
Décollage tragique (Vol Comair 5191)
Le 27 août 2006, le vol Comair 5191 s'écrase au bout de la piste de l'aéroport de Blue Grass à Lexington dans le Kentucky, tuant quarante-neuf des cinquante personnes à bord et laissant le copilote pour seul survivant. L'avion s'était vu attribuer la piste 22 pour le décollage,
Cloué au sol (Vol Lion Air 610)
Le 29 octobre 2018, le vol Lion Air 610 s'écrase treize minutes après son décollage de Jakarta en Indonésie, tuant les 189 personnes à bord. Il s'agit du premier accident majeur impliquant la nouvelle série d'avions Boeing 737 MAX, introduite en 2017, et le plus meurtrier impliquant le Boeing 737.
Catastrophe en cabine (Vol Southwest Airlines 1380)
Le 17 avril 2018, le vol Southwest Airlines 1380 subit une panne du moteur gauche en plein vol alors qu'il s'apprête à atteindre son altitude de croisière. Le capot du moteur se brise et des fragments endommage le fuselage, provoquant une dépressurisation rapide de l'avion après avoir endommagé un hublot.
Défaillance à Katmandou (Vol US-Bangla Airlines 211)
Le 12 mars 2018, le vol US-Bangla Airlines 211 s'écrase lors de son atterrissage à l'aéroport international Tribhuvan de Katmandou au Népal, tuant 51 des 71 personnes à bord. L'avion prend feu et les vingt passagers survivants sont grièvement blessés par l'impact et l'incendie.
Mission catastrophe (Incident du Boeing KC-135 Stratotanker)
Le 22 février 1991, lors de l'opération Tempête du désert au cours de la guerre du Golfe, un Boeing KC-135 Sratotanker, un avion ravitailleur appartenant à l'US Air Force, subit en plein vol, après son décollage de Djeddah en Arabie saoudite, de fortes turbulences de sillage émanant d'un autre avion ravitailleur les doublant, qui arrachent les deux moteurs du côté gauche, laissant l'avion entièrement chargé avec de graves problèmes de contrôle.
Pilotes à la dérive (Vol Ansett New Zealand 703)
Le 9 juin 1995, le vol Ansett New Zealand 703 s'écrase sur un massif montagneux des monts Tararua en Nouvelle-Zélande, lors d'une approche aux instruments par mauvais temps, tuant quatre sur les vingt-et-une personnes à bord. Durant l'approche, le train d'atterrissage droit ne s'est pas complètement déployé, et le copilote a commencé à le sortir manuellement à l'aide d'une pompe hydraulique.
Atterrissage imminent (Vol Propair 420)
Le 18 juin 1998, le vol Propair 420 subit un incendie en vol peu de temps après son décollage de l'aéroport de Dorval à Montréal au Canada. Les pilotes effectuent un atterrissage d'urgence sur l'aéroport international Montréal-Mirabel mais la chaleur intense de l'incendie provoque une défaillance structurelle de l'aile gauche lors de l'atterrissage et l'avion s'écrase, tuant les onze passagers et membres d'équipage à bord.
Livraison fatale (Vol UPS Airlines 1354)
Le 14 août 2013, le vol cargo UPS Airlines 1354 s'écrase lors de son approche sur l'aéroport de Birmingham dans l'État américain de l'Alabama, tuant les seules personnes à bord, les deux pilotes. Ces derniers sont descendus sous l'altitude minimale de descente alors que la piste n'était pas encore en vue, entraînant une collision avec le relief à environ un kilomètre du seuil de piste.
Chute dans le Pacifique (Vol Alaska Airlines 261)
Le 31 janvier 2000, le compensateur du stabilisateur horizontal du vol Alaska Airlines 261 se bloque puis se brise lors d'un vol reliant Puerto Vallarta, au Mexique, à San Francisco, aux États-Unis. L'avion se retourne et entre dans un piqué irrécupérable, s'écrasant dans l'océan Pacifique au large de Los Angeles. Les 88 passagers et membres d'équipage à bord sont tués. L'enquête du Conseil national de la sécurité des transports américain (NTSB) détermine qu'un entretien inadéquat de l'avion a entraîné une usure excessive et une défaillance de l'un des systèmes de commandes de vol. Cette dernière a été causée par une lubrification insuffisante par Alaska Airlines, pour des raisons d'économies budgétaires, de l'ensemble du vérin, ce qui a provoqué le retournement de l'avion en plein vol.
Dangers dans le ciel
Haut dans le ciel du Michigan, le vol TWA 841 fait une embardée sur la droite, puis se retourne et plonge en piqué vers le sol. À quelques secondes de l'impact, l'équipage parvient à reprendre le contrôle in extremis puis à poser l'appareil sans danger à Detroit. Les indices vont rapidement mener les enquêteurs à la cabine de pilotage de l'avion malmené. Suspectés de cacher quelque chose, les pilotes vont risquer leurs propres vies dans un vol test critique.
Bombardier à terre (Accident d'un B-2 de l'US Air Force en 2008)
Le 23 février 2008, un bombardier furtif de l'US Air Force nommé Spirit of Kansas entre dans un décrochage et s'écrase sur la piste quelques instants après son décollage de la base aérienne d'Andersen à Guam. Les deux pilotes réussissent à s'éjecter de l'avion et s'en sortent indemnes. Première perte d'un Northrop B-2 Spirit, il s'agit de l'accident aérien le plus coûteux de l'histoire, avec des dégâts estimés à 1,4 milliard de dollars américains. L'enquête révèle que trois capteurs de pression situés sur le fuselage ont cessé de fonctionner, entraînant les ordinateurs de vol à calculer un angle d'attaque et une vitesse inexacte pour le décollage.
Double problème (Vol Trans-Air Service 671)
Le 31 mars 1992, le vol Trans-Air Service 671 subit une séparation en vol de ses deux moteurs droits alors qu'il se dirige de Luxembourg vers Kano, au Nigeria, obligeant les pilotes à effectuer un atterrissage d'urgence sur la base aérienne d'Istres-Le Tubé en France. L'avion subit des dommages irréparables en raison d'un incendie sur l'aile droite à l'atterrissage mais ses cinq occupants ont survécu. L'enquête révèle que le moteur numéro trois s'est détaché en raison d'une fatigue du métal dans le pylône qui le retenait à l'aile. La fissure s'est progressivement agrandie dans le temps jusqu'à la rupture du moteur qui, dans sa chute, heurte le moteur numéro quatre, provoquant également sa séparation.
Circuit d'attente (Vol Flydubai 981)
Le 19 mars 2016, le vol Flydubai 981 entame une descente rapide et s'écrase sur le terrain de l'aéroport de Rostov-sur-le-Don, en Russie, après avoir interrompu sa deuxième tentative d'atterrissage dans de mauvaises conditions météorologiques. Les 55 passagers et sept membres d'équipage à bord sont tués. L'accident a été causé par une configuration incorrecte de l'avion pour l'atterrissage et pour la procédure de remise de gaz, provoqué par des erreurs de pilotage, notamment une perte de conscience de la situation et une désorientation spatiale des pilotes.
Péril sur Faro (Vol Martinair 495)
Le 21 décembre 1992, le vol Martinair 495 s'écrase alors qu'il tente d'atterrir à l'aéroport de Faro, au Portugal, dans des conditions météorologiques très mauvaises, tuant 56 des 340 personnes à bord. L'accident a été causé par un cisaillement de vent induit par des rafales descendantes, le tout aggravé par des erreurs de pilotage.
Turbo défaillant (Vol Flagship Airlines 3379)
Le 13 décembre 1994, le vol Flagship Airlines 3379 s'écrase après avoir exécuté une approche interrompue à l'aéroport international de Raleigh-Durham, en Caroline du Nord, tuant quinze personnes et laissant cinq survivants grièvement blessés. L'accident a été imputé au commandant de bord, qui a mal interprété un voyant d'alerte lors de la phase d'atterrissage, pensant qu'un moteur était tombé en panne. Les pilotes ont laissé la vitesse de l'avion diminuer jusqu'à ce qu'il entre dans un décrochage aérodynamique, puis heurte des arbres et s'écrase près de l'aéroport. Les pilotes n'ont pas suivi les procédures adéquates pour la remise des gaz et la sortie de décrochage. La compagnie aérienne a été accusée de ne pas avoir identifié, surveillé et corrigé les lacunes dans les performances et la formation du commandant de bord, qui avait pourtant accumulé un dossier médiocre au cours de sa carrière.
Terreur en trois actes (Vol American Airlines 1572)
Le 12 novembre 1995, le vol American Airlines 1572 percute la cime des arbres le long de la crête de la Peak Mountain puis remonte brièvement avant de perdre ses deux moteurs juste avant son atterrissage à l'aéroport international Bradley de Hartford dans le Connecticut. Les pilotes parviennent de justesse à effectuer un atterrissage d'urgence, sauvant la vie des 78 personnes à bord. L'enquête cite plusieurs causes à l'incident. Elle reproche d'abord à la Federal Aviation Administration (FAA) d'avoir conçu l'approche de la piste sans tenir compte de la ligne de crête. Cependant, elle cite une erreur de pilotage comme principale cause en raison de l'échec des pilotes à stabiliser l'approche. L'absence de communication de la tour de contrôle quant à la mise à jour du calage altimétrique est également cité comme facteur contributif.
Dans le noir complet (Vol Air Illinois 710)
Le 11 octobre 1983, le vol Air Illinois 710 s'écrase près de Pinckneyville, dans l'Illinois, en raison d'une mauvaise gestion par l'équipage d'un problème électrique, tuant les dix personnes à bord. Une dizaine de minutes après le décollage, le copilote signale au commandant de bord que le générateur électrique gauche a cessé de fonctionner et que celui de droite allait bientôt s'arrêter à son tour. Toutefois, le commandant décide de continuer le vol vers l'aéroport de destination. L'équipage éteint la lumière dans la cabine, mais ne réussit pas à réduire la charge électrique globale de la batterie, qui s'épuise finalement, entraînant la défaillance des instruments de vol et des radios.
La mort d'une légende
Un hélicoptère s’écrase à Los Angeles en tuant ses neuf passagers, dont la légende du basketball Kobe Bryant. Alors que le monde pleure sa disparition, les enquêteurs ratissent les données et les débris pour comprendre comment un pilote de haut vol aux commandes d’un engin dernier cri avec une célébrité à bord a pu percuter une montagne sur un trajet à faible risque qu’il connaissait si bien.
Échange fatal (Vol Corporate Airlines 5966)
Le 19 octobre 2004, le vol Corporate Airlines 5966 s'écrase lors de son approche sur l'aéroport régional de Kirksville, dans le Missouri, aux États-Unis, tuant treize des quinze personnes à bord. Les pilotes sont descendus sous l'altitude minimale de sécurité jusqu'à l'impact avec des arbres. Ces derniers n'ont pas suivi les procédures adéquates pour l'approche de l'avion sur l'aéroport en raison notamment de leur fatigue ainsi que d'un manque d'attention et de professionnalisme.
Erreurs en série (Vol Independent Air 1851)
Le 8 février 1989, le vol Independent Air 1851 s'écrase lors de son approche sur l'aéroport de Santa Maria, aux Açores, tuant les 144 personnes à bord. Il s'agit de l'accident aérien le plus meurtrier de l'histoire du Portugal. L'enquête conclut que les pilotes n'ont pas respecté les procédures d'approche, conduisant à une descente sous l'altitude minimale de sécurité dans un secteur très vallonné. La mauvaise communication avec le contrôleur aérien, le manque de formation des pilotes, ainsi que leur manque de concentration pendant le vol ont tous contribué à l'accident.
Point de pression (Vol Japan Airlines 123)
Le 12 août 1985, l'empennage du vol 123 de Japan Airlines se rompt en plein vol, sectionnant notamment les quatre systèmes hydrauliques de l'avion. Les pilotes parviennent difficilement à contrôler l'appareil pendant plus de trente minutes avant que celui-ci ne s'écrase sur le mont Takamagahara, à près de cent kilomètres au nord-ouest de Tokyo. Avec 520 des 524 personnes à bord décédées, il s'agit de la pire catastrophe aérienne de l'histoire impliquant un seul appareil. L'enquête révèle que l'accident a été causé par une réparation défectueuse de la cloison de pressurisation arrière après un toucher de queue (tailstrike) survenu plusieurs années auparavant. Au fil du temps, des fissures se propagent progressivement à l'arrière de l'avion jusqu'à la rupture finale de l'empennage près de sept années plus tard. Remarque : Cet accident a également été traité dans le troisième épisode de la troisième saison, nommé « Hors de contrôle ».
Perte de puissance (Vol Airlines PNG 1600)
Le 13 octobre 2011, le vol Airlines PNG 1600 s'écrase dans une région boisée du nord-est de la Papouasie-Nouvelle-Guinée après avoir perdu toute la puissance de ses moteurs, tuant vingt-huit des trente-deux personnes à bord. Il s'agit de l'accident aérien le plus meurtrier en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'enquête révèle que les pilotes ont provoqué une survitesse des deux hélices en plaçant par inadvertance les manettes de puissance des moteurs en dessous de la position la plus basse autorisée en vol, ce qui a entraîné une perte complète de puissance moteur.
Contrôle zéro (Vol Air Astana 1388)
Le 11 novembre 2018, le vol Air Astana 1388 subit, peu de temps après son décollage d'une base aérienne près de Lisbonne, au Portugal, de graves problèmes de contrôle. À plusieurs reprises, les pilotes perdent totalement le contrôle de l'avion, qui se retourne et plonge brusquement. Malgré la difficulté des pilotes à contrôler l'appareil, ils parviennent à atterrir sur la base aérienne de Beja, à environ 130 kilomètres au sud-est de Lisbonne, escorté par deux F-16 de la Force aérienne portugaise et après plus d'une heure et demie de vol, sauvant ainsi la vie des six personnes à bord. Au cours du vol, l'avion subit des dégâts irréparables puis est par la suite retiré du service. L'enquête révèle que les câbles des ailerons avaient été mal installés, provoquant une inversion des commandes.
Chaos en cabine (Vol Sichuan Airlines 8633)
Le 14 mai 2018, le vol Sichuan Airlines 8633 est contraint d'effectuer un atterrissage d'urgence à Chengdu, en Chine, après la rupture en plein vol de l'un des pare-brises du poste de pilotage. Au cours de la décompression explosive, le copilote se retrouve partiellement aspiré hors de l'avion, mais environ trente-cinq minutes après l'incident, les pilotes parviennent à atterrir en toute sécurité, sauvant la vie des 128 personnes à bord. L'enquête révèle que la rupture a été causée par la défaillance d'un joint d'étanchéité et par l'infiltration d'humidité au niveau de l'alimentation électrique du système de chauffage du pare-brise. Un arc électrique, qui a généré une chaleur intense, a ensuite permis à des fissures de se répandre au niveau du pare-brise avant droit, qui, en raison de la différence de pression, a finalement rompu en plein vol.
Crash au paradis (Accident d'un DHC-2 de Sydney Seaplanes en Australie)
Le 31 décembre 2017, un hydravion de Havilland Canada DHC-2 Beaver de la compagnie aérienne Sydney Seaplanes s'écrase au large de Cowan Creek, à la périphérie nord de Sydney, en Australie, tuant le seul pilote ainsi que les cinq passagers à bord. L'enquête révèle que les performances du pilote ont probablement été affectées par une intoxication au monoxyde de carbone. L'autopsie des corps des victimes montre des niveaux de carboxyhémoglobine dans le sang supérieur à la normale. De plus, plusieurs fissures préexistantes dans le système d'échappement ont très probablement libéré des gaz d'échappement dans le compartiment moteur, qui se sont ensuite frayé un chemin à l'intérieur dans la cabine par plusieurs trous au niveau de certains panneaux d'accès.
Bluff mortel (Vol Balkan Bulgarian Airlines 013)
Le 7 mars 1983, le vol Balkan Bulgarian Airlines 013, reliant Sofia à Varna, en Bulgarie, est détourné par quatre pirates de l'air qui exigent le déroutement de l'avion vers l'Autriche. Alors que l'avion est en vol, les autorités locales ordonnent discrètement aux pilotes de simuler la coopération, tout en maintenant un cap vers Varna. Pendant ce temps, les autorités coupent toute alimentation électrique à Varna, afin d'empêcher les pirates de l'air de reconnaître la côte de la mer Noire. Après avoir atterri à l'aéroport de Varna, un policier bulgare et un employé de l'aéroport, qui parlent couramment l'allemand, sont déguisés en employés d'un aéroport autrichien et tentent de convaincre les pirates de l'air qu'ils sont à Vienne afin de les attirer hors de l'avion.
Désastre en livraison (Vol Atlas Air 3591)
Le 23 février 2019, le vol Atlas Air 3591 s'écrase près de la ville d'Anahuac, au Texas, lors de son approche sur l'aéroport intercontinental George-Bush de Houston, tuant les trois personnes à bord. Il s'agit du premier accident aérien mortel d'un Boeing 767 cargo. L'enquête attribue l'accident à une erreur de pilotage, le copilote ayant subi une désorientation spatiale et placé par inadvertance l'avion dans un piqué irrécupérable. Le commandant de bord n'a pas surveillé de manière adéquate les actions de son collègue ainsi que la trajectoire de vol de l'avion. Des problèmes de formation des équipages chez Atlas Air et dans l'industrie de l'aviation commerciale aux États-Unis ont également été des facteurs contributifs à l'accident.
Mystère en Méditerranée (Vol EgyptAir 804)
Le 19 mai 2016, le vol EgyptAir 804 s'écrase en pleine mer Méditerranée alors qu'il effectue une liaison entre Paris, en France, et Le Caire, en Égypte, tuant les 66 personnes à bord. Rapidement, des messages transmis automatiquement par l'avion ainsi que des débris portant des traces de suie pointent les enquêteurs vers l'hypothèse d'un incendie en vol. Toutefois, les autorités égyptiennes et françaises se contredisent sur les causes officielles de l'incendie. Selon les premiers, il serait dû à un attentat terroriste alors que des experts et responsables français imputent la cause de l'incendie sur les pilotes, qui auraient fumé une cigarette dans le poste de pilotage. Un incendie se serait alors déclenché lorsque la fumée a été exposée à de l'oxygène s'échappant d'un masque à oxygène défaillant dans le cockpit, provoquant rapidement une perte de contrôle totale de l'avion.
Terreur au-dessus du Pacifique (Vol United Airlines 811)
Le 24 février 1989, le vol United Airlines 811 subit une décompression explosive, peu après avoir décollé de l'aéroport international d'Honolulu, à Hawaï, aux États-Unis. Malgré des dégâts importants sur la section avant du fuselage, les pilotes parviennent à effectuer un atterrissage d'urgence sans autre incident. L'explosion a été causée par un dysfonctionnement au niveau de la porte de soute à bagages qui s'est ouverte pendant le vol. Un défaut de conception dans son système d'ouverture a provoqué la rupture d'une partie du fuselage ainsi que la projection de plusieurs rangées de sièges vers l'extérieur de l'avion, causant la mort de neuf des 355 personnes présentes à bord.
Cauchemar en Alaska (Vol PenAir 3296)
Le 17 octobre 2019, le vol PenAir 3296 sort de la piste, après avoir atterri à l'aéroport Tom Madsen, en Alaska. Sur les 42 passagers et membres d'équipage à bord, un passager est mortellement blessé lorsqu'une pale d'hélice pénètre dans le fuselage. Le rapport final indique que l'accident a été causé par le câblage incorrect des faisceaux du transducteur de vitesse de roue sur le train d'atterrissage principal gauche pendant la révision de maintenance. La conception des faisceaux de câbles par le constructeur Saab, ainsi que la décision des pilotes d'atterrir avec un vent arrière qui dépassait les limites de l'avion ont également contribué à l'accident.
Décollage fatal (Vol Air Transport International 782)
Le 16 février 1995, le vol Air Transport International 782 s'écrase en bout de piste après avoir manqué son décollage à l'aéroport international de Kansas City, tuant les trois membres d'équipage présents à bord. La cause principale de l'accident réside notamment dans la formation inappropriée des pilotes, qui n'ont pas réalisé correctement une procédure de décollage avec trois moteurs, ainsi que dans le manque de surveillance de la Federal Aviation Administration (FAA) et de la compagnie aérienne concernant les réglementations sur le temps de repos des équipages.
Sans crier gare (Collision aérienne de 2019 en Alaska)
Le 13 mai 2019, deux hydravions effectuant des vols touristiques, un De Havilland Canada DHC-2 Beaver exploité par Mountain Air Service, et un De Havilland Canada DHC-3 Otter, exploité par Taquan Air, entre en collision au-dessus de la baie de George Inlet, dans le sud de l'Alaska. Le DHC-2 se disloque en vol, ne laissant aucun survivant parmi le pilote et les quatre passagers à bord. Malgré des dommages importants à l'appareil, le pilote du DHC-3 parvient à garder un contrôle partiel et à effectuer un atterrissage d'urgence, laissant le pilote légèrement blessé, neuf passagers grièvement blessés et un passager succombant à ses blessures. L'enquête attribue l'accident aux limites inhérentes au concept du « voir et éviter », ainsi qu'à l'absence d'alertes des systèmes d'affichage du trafic dans les deux appareils.
Onze secondes mortelles (Vol China Airlines 676)
Le 16 février 1998, le vol China Airlines 676 s'écrase sur une route et une zone résidentielle, après avoir interrompu la phase d'approche à l'aéroport international Tchang Kaï-chek, à Taïwan, tuant les 196 personnes à bord, ainsi que 6 personnes au sol. L'enquête a conclu que l'équipage n'a pas compenser la tendance à cabrer de l'appareil, sous l'effet de la poussée des réacteurs, lors d'une procédure de remise de gaz, entraînant une montée avec un angle d'attaque trop important et un décrochage, que les pilotes n'ont pas pu récupérer à temps. Le rapport final conclut en critiquant également la compagnie aérienne pour la formation insuffisante de ses pilotes et la mauvaise gestion des ressources de l'équipage dans le cockpit, notamment un manque de coordination et une mauvaise répartition des tâches entre le commandant de bord et son copilote.
Des pilotes d'exception (Vol Pilgrim Airlines 458)
Le 21 février 1982, le vol Pilgrim Airlines 458 effectue un atterrissage forcé sur la surface gelée du réservoir Scituate, près de Providence, dans le Rhode Island, après qu'un incendie s'est déclaré dans le cockpit et la cabine. Un des dix passagers n'a pas pu s'échapper de l'avion et est décédé des suites de l'inhalation de fumée, et huit des neuf passagers restants, ainsi que les deux membres d'équipage, ont été grièvement blessés par l'incendie et l'atterrissage en catastrophe. L'enquête révèle que la cause de l'accident est la conception défectueuse du système de lave-glace/dégivrage du pare-brise du DHC-6, qui utilise un liquide lave-glace contenant un antigel réputé comme étant inflammable, ainsi que l'entretien inadéquat du système par la maintenance au sol ont entraîné un incendie en vol.
Instructions mortelles (Vol Colgan Air 9446)
Le 26 août 2003, le vol Colgan Air 9446 s'écrase en mer, peu après avoir décollé de l'aéroport régional de Barnstable, dans le Massachusetts, aux États-Unis. Les deux pilotes, les seules personnes présentes à bord, périssent dans l'accident. Les causes principales de cet accident sont le remplacement incorrect, par l'équipe de maintenance de la compagnie aérienne, du câble de commande de la gouverne de profondeur et la vérification inadéquate de l'opération effectuée, qui ont entraîné un dysfonctionnement du compensateur de la gouverne et une perte de contrôle à basse altitude. Le non-respect, de la part des pilotes, des procédures concernant l'exécution de la check-list avant le décollage, ainsi que la description erronée, par le constructeur de l'avion, du système de compensation de la gouverne dans le manuel de maintenance ont été des facteurs contributifs à cet accident.
Incendie en cabine (Vol Saudia 163)
Le 19 août 1980, le vol Saudia 163 a pris feu peu après le décollage de l'aéroport international de Riyad, en Arabie saoudite. où l'appareil venait de faire escale. Après avoir effectué un atterrissage d'urgence à Riyad, le personnel de bord ne parvient pas à évacuer l'appareil, et les 301 passagers et membres d'équipage périssent par inhalation de fumée. Il s'agit, à l'époque, de la troisième catastrophe aérienne la plus meurtrière de l'histoire de l'aviation. L'enquête révèle que l'incendie s'est déclaré à l'arrière de l'avion, dans la soute à bagages, avant de se propager rapidement une fois l'appareil sur le tarmac. Malgré de nombreux efforts, on ne sait toujours pas avec certitude ce qui a provoqué l'incendie, ni pourquoi l'équipage n’a pas réussi à évacuer l’avion à temps.
Un footballeur disparaît (Accident de l'avion d'Emiliano Sala)
Le 21 janvier 2019, un avion léger transportant le footballeur argentin Emiliano Sala disparaît des écrans radars au nord-nord-ouest de l'île de Guernesey. Après des premières recherches aériennes, infructueuses, l'épave est retrouvée au fond de la Manche le 3 février 2019, puis un corps, qui s’avèrera par la suite être celui d'Emiliano Sala, est remonté à la surface et identifié trois jours plus tard. Le corps du pilote de l'avion, David Ibbotson, n'a jamais été retrouvé. Le rapport d'accident établit que le vol n'était pas effectué conformément aux normes de sécurité des vols commerciaux (VFR de nuit par mauvaises conditions météorologiques, inexpérience du pilote). Il établit également qu'Emiliano Sala, et probablement le pilote, ont été victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone. Le pilote a ensuite perdu le contrôle de l'avion, qui s'est finalement disloqué en vol, avant de s'écraser en mer.
Directives fatales (Vol Ethiopian Airlines 302)
Le 10 mars 2019, le vol Ethiopian Airlines 302 s'écrase six minutes après son décollage de l'aéroport d'Addis-Abeba, en Éthiopie. Les 157 occupants de l'appareil sont tués sur le coup, ce qui en fait le pire accident aérien survenu en Éthiopie. Le rapport final indique qu'après le décollage, des valeurs erronées d'angle d'attaque, provenant de la sonde d'incidence gauche, ont déclenché de fausses alarmes de décrochage, puis à la rentrée des volets, l'activation du MCAS a agi à tort sur le stabilisateur horizontal et a fait piquer l'avion de façon répétée, rendant le contrôle de l'appareil impossible pour l'équipage. La similarité entre cet accident et celui du vol Lion Air 610, survenue en octobre 2018 peu après le décollage, entraîne, dès le 13 mars 2019, la suspension de vol de tous les Boeing 737 Max.
Amerrissage forcé (Vol Transair 810)
Le 2 juillet 2021, le vol Transair 810 effectue un amerrissage forcé au large de l'île d'Oahu, à Hawaï, à la suite de la mauvaise gestion d'une panne moteur survenue peu de temps après le décollage de l'aéroport international d'Honolulu. Les deux pilotes, les seuls occupants de l'avion, sont secourus environ une heure après l'accident. Le rapport final conclu que l'accident a été causé par une mauvaise gestion des ressources de l'équipage, ainsi qu'à une charge de travail élevée et au stress induit par une situation d'urgence, amenant les pilotes à réduire par inadvertance la puissance du mauvais moteur peu après le décollage.
Panne de carburant (Vol Air Tahoma 185)
Le 13 août 2004, le vol Air Tahoma 185 s'écrase sur un terrain de golf, à seulement un kilomètre au sud de l'aéroport international de Cincinnati-Northern Kentucky, lors de la phase d'approche. Le copilote est tué sur le coup, tandis que le commandant se retrouve légèrement blessé. Le NTSB attribue l'accident à une panne de carburant résultant de la décision du commandant de bord de ne pas suivre les procédures approuvées pour une alimentation croisée en carburant. La visite prévol inadéquate du commandant de bord, sa distraction pendant le vol, son initiation tardive de la check-list pour l'atterrissage, ainsi que l'échec des pilotes à surveiller les jauges de carburant et à reconnaître que les différentes variations dans le pilotage de l'appareil étaient le résultat d'un déséquilibre de carburant ont également contribué à l'accident.
Drame en mer de Java (Vol Sriwijaya Air 182)
Le 9 janvier 2021, le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java, à proximité des îles Seribu, quatre minutes après son décollage de l'aéroport international Soekarno-Hatta de Jakarta, ne laissant aucun survivant parmi les 62 passagers et membres d'équipage à bord. L'accident est dû à la combinaison d'une défaillance de l'automanette, qui a laissé le moteur droit à pleine puissance et réduit la puissance du moteur gauche jusqu'à le faire passer sur ralenti, pendant la montée, et d'une erreur des pilotes, qui n'ont pas réagi de manière adéquate pour pouvoir récupérer la situation. Le manque de formation de l'équipage, notamment concernant l'attitude à adopter en cas de perte de contrôle en vol, a contribué à leur incapacité à prévenir et à reprendre le contrôle de l'appareil à temps.
Une manœuvre impossible (Vol Luxair 9642)
Le 6 novembre 2002, le vol Luxair 9642 s'écrase dans un champ lors de sa tentative d'atterrissage sur la piste 24 de l'aéroport de Luxembourg-Findel. Sur les 22 passagers et membres de l'équipage à bord, on dénombre 20 morts, ce qui en fait l'accident aérien le plus meurtrier survenu au Luxembourg. La cause principale de l'accident a été déterminée comme étant une erreur des pilotes, qui ont décidé d'accepter l'autorisation d'approche donnée par le contrôle aérien, même s'ils n'avaient pas suffisamment préparé l'atterrissage, conduisant à une série d'actions improvisées. Elles ont conduit à la neutralisation d'un dispositif de sécurité des moteurs, ce qui a permis l'inversion du pas des deux hélices en vol et a conduit à une perte de contrôle catastrophique.
Amerrissage en mer du Nord (Vol Loganair 670A)
Le 27 février 2001, le vol Loganair 670A s'écrase dans les eaux du Firth of Forth, en Écosse, en tentant d'y effectuer un amerrissage forcé, à la suite de la perte de ses deux moteurs en vol. Les deux pilotes, les seuls occupants de l'appareil, périssent dans l'accident. Il a été conclu que l'absence de protection sur l'admission d'air des moteurs, alors que l'avion a été stationné durant plusieurs heures à l'aéroport d'Édimbourg dans des conditions hivernales, a conduit à l'accumulation de grands volumes de neige dans les prises d'air des deux moteurs, provoquant leurs extinctions peu après le décollage.
Chaos en cabine (Vol China Eastern Airlines 583)
Le 6 avril 1993, le vol China Eastern Airlines 583 subit plusieurs violentes oscillations au niveau du tangage, alors qu'il est en vol de croisière au-dessus de l'océan Pacifique, près des îles Aléoutiennes. L'appareil retrouve finalement un vol stabilisé, le commandant de bord déclare une urgence et déroute le vol vers la Eareckson Air Station, située sur l'île de Shemya, au sud-ouest de l'Alaska, pour y effectuer un atterrissage d'urgence. On dénombre deux morts et 156 blessés parmi les 255 passagers et membres d'équipage à bord. L'enquête conclut qu'un des pilotes a accidentellement déployé les becs de bord d'attaque en plein vol, en raison d'une conception inadéquate de la poignée d'activation des volets/becs par le constructeur de l'avion, McDonnell Douglas, tandis que les oscillations ont été causées par la surutilisation, par le commandant de bord, des gouvernes de profondeur jusqu'à ce qu'il soit capable de stabiliser l'attitude de l'appareil.
Ascension fatale (Vol Midwest Express Airlines 105)
Le 6 septembre 1985, le vol Midwest Express Airlines 105 s'écrase dans un champ à Oak Creek, dans le Wisconsin, peu après son décollage de l'aéroport international General Mitchell de Milwaukee. Aucun des 31 passagers et membres d'équipage ne survit à l'accident. Les enquêteurs concluent que malgré la panne du moteur droit, survenue peu après le décollage, l'avion était toujours contrôlable et que la réaction de l'équipage à cette panne demeure la principale cause de l'accident. L'équipage n'a pas réussi à contrôler correctement l'avion pendant cette situation d'urgence, entraînant un décrochage et une perte de contrôle à basse altitude. Le manque de coordination de l'équipage dans le poste de pilotage et la surveillance insuffisante de la compagnie aérienne par la FAA ont également contribuées à l'accident.
Tragique manque de communication (Accident d'un Lockheed C-130 Hercules de Coulson Aviation)
Le 23 janvier 2020, un avion bombardier d'eau de Coulson Aviation s'écrase alors qu'il combat un feux de forêt, pendant la saison des feux de brousse de 2019-2020 en Australie. Les trois membres d'équipage présents à bord sont tous tués sur le coup. L'accident est probablement lié aux mauvaises conditions météorologiques présentes dans la région, notamment la présence de cisaillement de vent à basse altitude et l'augmentation du vent arrière durant des manœuvres, entraînant le décrochage de l'appareil lors du largage de retardant, effectué à une altitude et une vitesse faible.
Collision catastrophe (Vol Bashkirian Airlines 2937 et vol DHL 611)
Le 1er juillet 2002, un Tupolev Tu-154 de la Bashkirian Airlines et un Boeing 757 cargo de DHL entrent en collision près d'Überlingen et du lac de Constance, dans le sud de l'Allemagne, provoquant la mort des 71 personnes à bord des deux appareils. L'enquête officielle démontre que la catastrophe est due à un certain nombre de lacunes de la part du service du contrôle de la circulation aérienne suisse chargé du secteur concerné, ainsi que des ambiguïtés dans les procédures d'utilisation du TCAS, le système d'alerte de trafic et d'évitement de collision présent à bord de chacun des deux avions. Remarque : Cet accident est également traité dans le quatrième épisode de la deuxième saison, nommé « Collision en vol ».
Test fatal (Vol Airborne Express 827)
Le 22 décembre 1996, le vol Airborne Express 827 décroche et s'écrase sur un terrain montagneux près de Narrows, en Virginie, lors d'un vol d'essai effectué à la suite de plusieurs modifications majeures sur l'avion, tuant les trois membres d'équipage et les trois techniciens de maintenance présents à bord. Les causes de l’accident sont une mauvaise manipulation des commandes de vol par l'équipage, lors d'un test de récupération de décrochage, et l'échec des pilotes à reconnaître, traiter et corriger la situation à temps. Le vibreur de manche inopérant pendant ce vol, la fidélité du simulateur de vol de la compagnie aérienne à reproduire les caractéristiques de décrochage du DC-8, jugée imprécise et inadéquate par les enquêteurs, le fait que l'avion volait en pleine nuit, entraînant une absence de repères visuels extérieurs pour l'équipage, ainsi que l'échec de la compagnie aérienne à établir un programme officiel concernant ce type de vols a contribué à l'accident.
Pris au piège / Sans issue (Vol USAir 1493 et vol SkyWest Airlines 5569)
Le 1er février 1991, un Boeing 737-300 d'USAir entre en collision avec un Fairchild Metroliner III de SkyWest Airlines, lors de l'atterrissage sur la piste de l'aéroport international de Los Angeles. Les deux pilotes et 10 passagers à bord du Metroliner, ainsi que 23 des 89 occupants du 737 ont péri dans l'accident. Le NTSB a conclu que la cause probable de cet accident est une erreur du contrôle aérien de l'aéroport de Los Angeles. Les procédures utilisées à la tour de contrôle de cet aéroport, qui offraient une redondance inadéquate, ont entraîné une perte de conscience de la situation par le contrôleur local, le conduisant à autoriser les deux appareils à utiliser simultanément la même piste. Remarque : Cet accident est également traité dans le quatrième épisode de la neuvième saison, nommé « Sauvés de justesse / Embouteillage au contrôle ».
Vous pouvez regarder Mayday : Dangers dans le ciel sur différentes plateformes de streaming en France : Disney Plus
Oui, Mayday : Dangers dans le ciel est disponible avec audio et sous-titres en français sur la plupart des plateformes de streaming. Veuillez vérifier la disponibilité du doublage français sur votre plateforme préférée.
Cette série revient sur les grandes catastrophes aériennes. Ces films, mélange de reconstitutions et de témoignages, nous plongent dans une atmosphère angoissante et un suspense haletant. Interventions des survivants et des parents de victimes, explications d’experts, étude de la boîte noire de l'avion, rapports des autorités… Un important travail d'enquête a été mené afin de tenter de comprendre les raisons de ces crashes.
Le casting principal de Mayday : Dangers dans le ciel comprend : Stephen Bogaert
Mayday : Dangers dans le ciel a reçu une note de 8.2/10 basée sur 271 votes d'utilisateurs.
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