Montalbano enquête sur le meurtre d'un certain Lapecora, qui possédait une importante entreprise d'import-export. Sa veuve soupçonne l'amante de son mari, une jeune tunisienne prénommée Karima qui a mystérieusement disparu le jour même du meurtre. Montalbano met la main sur le fils de cette femme, qui, terrifié, s'était réfugié dans les rues du quartier avoisinant. Le jeune enfant, âgé de cinq ans, confie à Montalbano que sa mère a été enlevée. Après avoir découvert que Karima est la sœur d'un terroriste tunisien, Ahmed Moussa, mystérieusement tué le même jour que Lapecora, Montalbano réalise que les deux événements sont étroitement liés.

Accidentellement, le détective Montalbano trouve une jeune femme, nue, morte dans une villa près d'un village. Montalbano enquête et se rend compte qu'une femme de Bologne venue en Sicile, Michela Licalzi, vient justement d'acheter cette villa. En prise avec des collègues de la criminelle Montalbano est désisté de l'affaire qui est ensuite confiée à Panzacchi. Lequel en vient à la conclusion que le meurtre a été commis par Maurizio Di Blasi, un jeune homme follement amoureux de cette jeune femme.

Mr. Luparello, ingénieur et responsable d'un parti politique, est retrouvé mort dans sa voiture, près d'une plage où se rassemblent les prostituées. Le médecin légiste diagnostique une crise cardiaque faisant suite à un rapport sexuel. Tous les témoins et toutes les preuves pointent du doigt une femme blonde, Ingrid Sijostrom, qui a fait l'amour avec Mr. Luparello dans sa voiture avant sa mort, et qui est également proche de Mr. Cardamone, membre du parlement et opposant politique direct de Mr. Luparello.

Un mafioso, Tanno U'Greco, est arrêté par Montalbano et ses hommes. Mais l'homme est abattu par ses anciens complices, et juste avant de mourir, il révèle à Montalbano l'existence d'une grotte qui sert de cache d'armes à la mafia. Dans la grotte, le commissaire et ses hommes découvrent deux squelettes enlacés, placés là depuis une cinquantaine d'années. Un chien de faïence semble garder la sépulture secrète. En enquêtant sur le trafic d'armes, Montalbano est très sérieusement blessé, et c'est pendant sa convalescence qu'il va réunir des indices sur le meurtre du couple.

Le commissaire Montalbano mène une enquête sur le meurtre du jeune Nené Sanfilippo, technicien en informatique free-lance, et sur la disparition des conjoints Griffo, habitant dans le même immeuble que le jeune assassiné, disparus sans laisser de traces après avoir participé à une sortie organisée à Tindari. Les informations recueillies portent Montalbano à soupçonner que la mort de Sanfilippo est liée à la relation de ce dernier avec Vania Titulescu, femme roumaine du célèbre chirurgien Eugenio Isgro, le magicien des greffes. Bientôt, les époux Griffo sont retrouvés morts et carbonisés dans une ferme.

Tout porte à croire qu'Alberto Larussa s'est suicidé en ayant transformé son fauteuil roulant en chaise électrique... Le Commissaire Montalbano découvre que selon sa volonté le défunt lègue toute sa fortune à son frère Giacomo. Celui ci est très vite arrêté. Le commissaire Montalbano découvre ensuite que les deux frères se sont disputés à cause d'Emma, une jeune femme dont tous deux été tombés amoureux. Lors de cette dispute, Giacomo a poussé Alberto qui est resté paralysé. Pour se venger celui-ci a camouflé son suicide en meurtre pour faire accuser Giacomo.

Enea Silvio Piccolomini, dit Nene, un vieil aveugle, est retrouvé mort dans son lit. Son chien Orlando est retrouvé à l'extérieur de la maison, alors qu'il dormait toujours avec son maître. Montalbano se doute qu'il y a eu une volonté d'assassiner l'aveugle, qui n'est pas mort suite à un empoisonnement au gaz, mais à une surdose de barbituriques. Et qui se cache derrière la société de bienfaisance « Lux in ombra » qui lui avait fourni le chien ?

Un mari et une femme fortunés sont retrouvés morts dans ce qui semble être un accident de voiture, mais qui se transforme rapidement en enquête sur un meurtre. Et alors que les circonstances entourant la mort du couple deviennent de plus en plus mystérieuses, des indices pointent vers l'implication de Pasquale, le fils d'Adelina.

Le vieux Garzullo tire sur la foule. Il a pris en otage Maria Stella Cosentino, la fidèle assistante de Gargano, directeur d'une agence de crédit, qui a disparu avec toutes les économies des habitants de Montelusa. Montalbano se demande s'il est encore en vie, nageant dans une eau turquoise, ou s'il a été abattu par un homme de la mafia en colère. Au cours de ses investigations, Montalbano apprend que Gargano était homosexuel et qu'il avait une relation avec un salarié, Giacomo Pellegrino.

Une série d'agressions mystérieuses a lieu à Vigata et se termine de façon tragique lorsque l'une des victimes est tuée. Pendant ce temps, un homme détruit la salle d'urgence de l'hôpital après avoir découvert que sa jeune fille est enceinte. Un médecin local est également porté disparu et présumé mort. Montalbano enquête sur ces trois affaires, découvrant peu à peu les liens qui les unissent.

Suite à une bavure couverte et orchestrée par le sous-préfet, Montalbano veut démissionner mais Mimi Augello le persuade de ne pas le faire. Au cours d'une de ses baignades, le commissaire heurte un cadavre qui a des traces de liens sur les chevilles et les poignets. Qui est cet homme ? A-t-il été jeté dans la mer ? Est-il tombé d'un bateau ? La piste pour identifier l'homme est difficile. L'enquête va mener Montalbano sur la piste d'un réseau d'immigration clandestine.

Le meurtre d'Angelo Bonpensiero semble être le début d'une guerre mafieuse. Montalbano a des doutes. Il est alors retiré de l'affaire et chargé d'enquêter sur la disparition d'une jeune femme ukrainienne, apparemment sans rapport avec l'affaire précédente ; il va découvrir qu'il aurait dû se fier à son instinct après tout...

Susanna Mistretta a disparu. Son scooter a été retrouvé, mais pas son sac à dos, ni son portefeuille... Montalbano est très sceptique : le père de la jeune fille est ruiné, il n'est pas en mesure de payer une rançon. Sa femme, alitée depuis des années, est en train de mourir. Ils ont tout hypothéqué. Qui aurait intérêt à kidnapper la jeune fille ? Et pourquoi les ravisseurs envoient ils le même message vocal à tous les médias locaux ?

Une nuit, un vieil homme craintif sort d'une maison. Il est rattrapé par un homme au visage glabre et à la voix particulière... Montalbano, assis dans sa voiture sous une pluie battante, assiste au passage d'un corbillard : c'est l'enterrement de Girolamo Cascio, entrepreneur en biens immobiliers. Ciccio Monaco, le secrétaire du défunt, est le seul à suivre le corbillard. Il informe Montalbano qu'il a des soupçons sur la mort de son patron qui se sentait menacé par des coups de téléphone anonymes.

L'inspecteur Montalbano découvre l'existence d'un souterrain secret sous la maison familiale de Mimi et trouve une malle contenant le cadavre d'une jeune femme disparue six ans plus tôt. Alors qu'il commence son enquête, Montalbano fait la connaissance de la séduisante sœur jumelle de la victime.

Le corps nu d'une jeune femme est découvert sur une plage près de Vigata. La jeune fille a été tuée d'une balle dans le visage, son identité est inconnue et le seul indice dont dispose la police est un tatouage de papillon sur son épaule. Montalbano se met au travail pour tenter d'établir l'identité de la jeune fille et enquête sur les liens possibles entre la victime du meurtre et une organisation caritative locale ayant des liens avec l'église. Pendant ce temps, sa relation avec Livia continue de se détériorer en raison de son mauvais équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Montalbano se réveille un matin pour trouver la carcasse d'un cheval mort échouée sur la plage en contrebas de sa maison. Peu après, une belle femme se rend au commissariat de Vigata pour signaler l'enlèvement de son cheval de course. Une enquête se dessine, qui amène Montalbano à entrer en contact avec le monde élégant des courses de chevaux, via des rackets illégaux de paris hippiques organisés par la mafia.

Une femme en détresse se présente au commissariat de Vigata pour signaler la disparition de son frère. Peu après, l'homme est retrouvé assassiné dans ce qui semble être un crime passionnel. Mais Montalbano ne veut pas accorder trop de crédit aux apparences et fouille dans le passé de la victime, en parlant à toute personne qui aurait pu être impliquée dans l'affaire. Pendant ce temps, un certain nombre d'hommes d'affaires et de politiciens très en vue meurent d'une overdose de cocaïne.

Alors qu'une pluie torrentielle s'abat sur Vigata, un sac en plastique contenant un corps découpé en morceaux est retrouvé dans un champ d'argile. Tout porte à croire qu'il s'agit d'un meurtre mafieux à l'ancienne. Mais pourquoi Mimi Augello, collègue et amie de confiance de Montalbano, est-elle soudainement irritable et colérique, et pourquoi insiste-t-elle pour que l'enquête lui soit confiée ? Mimi pourrait-elle être impliquée dans l'affaire ?

Fazio a disparu. Il n'est pas chez lui, son portable est éteint et son père est inquiet. Croyant que le jeune officier a mené une enquête secrète de son côté, Montalbano craint que Fazio n'ait de sérieux ennuis et lance une recherche effrénée pour le retrouver vivant.

Un couple de personnes âgées, tous deux fanatiques religieux, se barricade dans leur maison et commence à tirer depuis les fenêtres et les balcons, apparemment sans raison. Les hommes de Montalbano parviennent finalement à les désarmer : il ne semble pas y avoir de raison à cette action insensée, mais à l'intérieur de la maison, ils trouvent une poupée gonflable étrangement défigurée. Quelques jours plus tard, lorsqu'une poupée identique est découverte dans une poubelle, Montalbano a un mauvais pressentiment.

Le yacht d'une femme riche accoste au port de Vigata alors qu'un corps défiguré est découvert en mer. La garde-côte Laura Belladonna est chargée de l'affaire pour assister Montalbano et les deux hommes deviennent rapidement proches. L'enquête jette des doutes sur les motivations et la sincérité de l'équipage du yacht et Montalbano commence à soupçonner que l'histoire qu'ils lui ont racontée ne tient pas debout.

Des notables, les Peritore, ont été cambriolés alors qu'ils étaient à l'intérieur de leur villa en bord de mer. Dans le même temps, Montalbano reçoit une lettre anonyme écrite dans un style pompeux, annonçant qu'il y aura deux nouveaux cambriolages. Lorsque Angelica Cosulich, l'une des victimes, lui demande une faveur, Montalbano, touché par sa grâce et sa beauté, ne résiste pas. Cela le mettra en péril auprès de sa hiérarchie, mais lui servira à pister les auteurs des lettres anonymes. Plus il avance dans l'enquête, plus il comprend que ces événements ne sont que la couverture d'une histoire beaucoup plus tragique.

À qui sont destinées les bombes de petite taille qui explosent mystérieusement devant des magasins vides ? Une nouvelle voisine, Liliana Lombardo, dont la voiture est tombée en panne, semble se prendre d'amitié pour Montalbano. Mais alors qu'ils roulent ensemble de nuit, le capot de la voiture est pris pour cible. Que cachent ces événements étranges ? Par ailleurs, Montalbano est intrigué par l'absence du mari de Liliana, qui semble partir souvent en voyage. Le drame éclate lorsqu'un corps est retrouvé calciné dans une voiture, et qu'un incendie détruit la maison des Lombardo. Montalbano pense que des puissants tirent les ficelles.

Montalbano est menacé par un jeune homme prêt à lui casser sa voiture ; il s'agit de Giovanni Strangio, le fils du président de la région. Montalbano n'entend pas annuler les charges contre le jeune homme. Peu après, le commissaire est appelé par Fazio et Augello à la suite du vol de la recette d'un supermarché appartenant au clan des Cuffaros. Le manager du supermarché, Nicotra, est questionné par la police. Peu de temps après, il est retrouvé pendu. L'avocat des Cuffaros se saisit de l'affaire et accuse Montalbano et ses adjoints d'être la cause du suicide.

Salvatore di Marta vient déclarer une agression armée dont a été victime sa jeune épouse Loredana. Un homme masqué leur aurait dérobé une grosse somme d'argent et aurait embrassé Loredana. Montalbano apprend qu'avant son mariage, la jeune femme était amoureuse d'un certain Savastano, un homme sans scrupules. Le commissaire pense que Loredana et le voleur sont complices. Une autre affaire retient l'attention de Montalbano : une cache d'armes a été découverte dans la grange d'une ferme où travaillent deux Tunisiens. Montalbano se présente à la ferme en tant qu'ingénieur, et la brigade antiterroriste est appelée en renfort.

Livia et Salvo Montalbano passent quelques jours en Ligurie. C'est alors que Salvo est rappelé d'urgence à Vigata. En effet, Maria Castellino, une femme de 70 ans, a été retrouvée morte, étranglée à l'aide d'une ceinture. Appréciée de tous, la victime gagnait sa vie en se prostituant et formait un couple heureux avec son mari, Serafino. Tandis qu'Augello soupçonne une affaire de gérontophilie, Montalbano, qui écarte cette hypothèse, tente de retrouver le propriétaire d'une alliance retrouvée dans l'appartement de Maria Castellino. Lors de son enquête, il va découvrir que la morte avait peur d'un client...

Le corps sans vie de Giugiu Nicotra est retrouvé sur le chantier d'un immeuble de construction. La victime, expert-comptable, vivait avec Inge, une Allemande de 25 ans, qui est introuvable. Un homme mystérieux vivait également avec Nicotra et sa femme Inge. La journaliste Lucia Gambardella, qui se bat depuis des années contre les malversations à Vigata, révèle à Montalbano que son informateur a échappé à une tentative de meurtre alors qu'il dénonçait des manœuvres frauduleuses au sein de plusieurs entreprises de construction de la région. Montalbano soupçonne des délits de corruption auxquels la mafia serait liée...

Cosimo Barletta, un ingénieur de 60 ans, est retrouvé mort dans sa villa, tué d'une balle dans la nuque. Aucune effraction n'étant constatée, Montalbano et son adjoint Fazio supposent que le tueur, ou la tueuse, pourrait être un proche de la victime. Les investigations menées auprès des enfants de Barletta et du voisinage font apparaître que l'homme était froid, cruel et sans scrupule. Il avait causé la ruine de beaucoup de monde à Vigata en pratiquant l'usure. Amateur de jeunes femmes, il savait aussi les faire chanter pour les maintenir sous sa coupe. L'enquête se complique lorsque Montalbano apprend que l'ingénieur a été empoisonné avant d'être abattu...

Le corps d'une jeune inconnue est retrouvé sans vie, vêtue d'une simple robe maculée de sang, sur le pas de la porte d'une maison de la rue Pintacuda. Montalbano pense que la victime est une prostituée originaire d'Europe de l'Est. Le commissaire, écœuré, est prêt à tout pour venger sa mort. Il compte ainsi sur le clan Cuffaro, qui domine le marché de la prostitution à Vigata, pour punir l'assassin. Au même moment, un des hommes de main des Cuffaro, chargé d'assassiner Montalbano, fait échouer le meurtre car Montalbano l'avait sauvé par le passé. L'enquête avance. Il s'avère que la victime a voulu donner un indice aux enquêteurs en mourant sur le parvis de la villa rue Pintacuda : c'est là où réside un témoin fondamental du crime...

Un magasin d'antiquités est ravagé par un incendie criminel. Et ce n'est pas tout : Marcello Di Carlo, le propriétaire du magasin, a disparu sans laisser de trace. Montalbano mène l'enquête. Au même moment, d'étranges événements se produisent dans la région. Fazio, du commissariat de Vigata, raconte les faits à Montalbano : un ravisseur aborde des jeunes filles par surprise, leur fait perdre connaissance avec du chloroforme, les kidnappe quelques heures, puis les relâche. Son mobile reste incompréhensible aux enquêteurs. Aucune violence ni vol ne sont à déplorer. Contre toute attente, Montalbano découvre un lien entre les deux affaires, en apparence si différentes...

Michela Prestia, une femme au passé dramatique, est portée disparue. Injustement rejetée dès son plus jeune âge par sa famille, elle s'est liée à des hommes qui ont ruiné sa vie amoureuse, l'humiliant et l'exploitant jusqu'à la prostitution. Mais au fil du temps, elle a réussi à reconstruire sa vie et à trouver l'amour en la personne de Saverio Moscato, avec qui elle vit actuellement, qui l'aime à son tour de manière inconditionnelle. Nombreux sont ceux qui pensent qu'elle a simplement abandonné Saverio pour s'enfuir avec un autre homme. Cependant, Montalbano doute, et s'avise que quelque chose de grave a dû arriver à Michela. Peut-être même a-t-elle été tuée ?...

Alors que les migrants affluent quotidiennement sur les côtes siciliennes, Montalbano doit résoudre une affaire de viol sur mineure qui aurait eu lieu durant la traversée d'un bateau. Meriem, une employée d’Elena Biasini, la couturière chargée de faire un costume sur mesure pour Montalbano, lui sert temporairement de traductrice. Une nuit, il est appelé pour se rendre dans l'atelier de couture d’Elena et la trouve morte, brutalement assassinée à coups de ciseaux…

Sur le port de Vigata, deux vieux silos s'apprêtent à être détruits. Caché dans l'un d'eux, le journal intime d'un jeune garçon, écrit à l'été 1943, révèle un passé trouble ainsi qu'un crime perpétré au lendemain du 8 mai 1943. Le même jour, un nonagénaire du nom de John Zuck se présente au commissariat : né à Vigata, il fut prisonnier des américains pendant la guerre. Il décida de rester en Amérique et d'y mener sa nouvelle vie. De retour à Vigata, il est très étonné de voir son nom sur la stèle des morts pour la patrie. Montalbano prend à cœur de l'aider à résoudre ce problème. Le jour suivant, Angelino Todaro, nonagénaire lui aussi mais surtout extrêmement riche, est retrouvé assassiné. Montalbano ne peut s'empêcher d'y voir plus qu'une coïncidence... Et si la découverte du journal et le meurtre étaient liés ?

Une jeune femme est retrouvée morte dans le bâtiment des archives communales, où elle était employée. Or, elle n'avait aucune raison de se trouver dans les locaux, puisque le bâtiment a été fermé pour travaux. De plus, comment le ou les assassins sont-ils pu quitter les lieux sans laisser de traces, pas même une goutte de sang de la victime, dont leurs vêtements étaient probablement recouverts ? Parallèlement, le commissaire Montalbano a encore du fil à retordre avec le fils de son employée de maison, Pasquale, après le cambriolage d'une villa. Pasquale clame son innocence. Montalbano sent qu'il se trame quelque chose, et prolonge la garde à vue du jeune homme.

Alors qu'un tournage a lieu à Vigata, Mimi trouve le moyen de séduire la fiancée du réalisateur, obligeant Montalbano à intervenir afin d'éviter un incident diplomatique. Mais le commissaire a un autre sujet de préoccupation. En rangeant son grenier, l'ingénieur Ernesto Sabatello a trouvé une série de films Super-8 tournés par son père entre 1973 et 1978. Chose étrange, l'homme a toujours filmé le même jour et le même mois, le même morceau de mur. Quel lourd secret se cache derrière ces pierres ? C'est alors que deux hommes masqués pénètrent dans une école et sèment la terreur.