Une histoire révolutionnaire de 2017 dans le New York Times révèle que le Pentagone a secrètement passé des années à étudier les ovnis, jetant un nouvel éclairage sur des décennies d'observations d'ovnis inexpliquées en Amérique – comme les rencontres avec les Phoenix Lights de 1997 et l'observation de l'aéroport de Chicago en 2006. Le premier contact a-t-il déjà été établi, et si oui, pourquoi le gouvernement américain essaie-t-il de le dissimuler ? Première de la série.

Les observations d'OVNI ne viennent pas que de fous : en 2004, une équipe de pilotes d'élite de la Marine et d'opérateurs radar a eu l'une des nombreuses rencontres militaires avec des phénomènes aériens non identifiés. Au fur et à mesure que les preuves s'accumulent, le gouvernement, ainsi que le milliardaire obsédé par les extraterrestres, Robert Bigelow, s'intéressent de plus en plus aux ovnis et au paranormal – et la conversation autour d'eux passe des franges au centre du Pentagone.

Alors que le monde était sous le choc de la bombe du New York Times qui révélait l'intérêt du gouvernement pour les ovnis, quelques voix dissidentes suggèrent que ce qui ressemble à un intérêt sincère pourrait en fait être une campagne de désinformation. Le gouvernement américain dissimule-t-il l'existence des extraterrestres – ou utilise-t-il le récit extraterrestre pour dissimuler l'existence de quelque chose d'autre ?

Alors même que le New York Times apportait de la crédibilité et un large public à la question des ovnis et de la vie extraterrestre, d'autres personnalités se demandaient si tout cela pouvait être un gros mensonge. Mais lorsqu'un psychiatre réputé de Harvard, John Mack, a commencé à enquêter sur le phénomène maintenant connu sous le nom d'enlèvements extraterrestres, il a prouvé que ces expériences bizarres ne pouvaient pas être rejetées avec autant d'empressement - et que la vérité pourrait être beaucoup plus compliquée que nous ne l'imaginons. Le final de la série.